| Antonino TessioChef de la mafia |  Sam 17 Oct 2020 - 20:50 Antonino Tessio Chi ha tanti compagni li ha per sua disgrazia, ma ci sono amici che sono più attaccati che fratelli
Age31 ans
Date de naissance18 avril 1980
Lieu de résidenceUn appartement luxueux de Bristol qui est sa garçonnière plus qu'autre chose.
BaguetteUne baguette de trente-et-un centimètres, sans surprise habitée d’un ventricule de dragon et faite d’un bois de prunellier, loyale et fortifiée par les épreuves que traverse son possesseur.
Animal de compagniePas le temps de s’occuper d’animaux de compagnie, c’est lui l’animal de compagnie (de Fergus, principalement)
AvatarMichele Morrone (mais n’allez pas voir ses films)
AutreIl est cool le design de ce forum, dis donc.
Curriculum Vitae
MétierGros trafiquant de drogue infréquentable.
Maison / Ancienne MaisonToni a fait sa scolarité en Italie, il n’a donc pas été à Poudlard mais nul doute qu’il aurait été un bon gros Gryffondor.
Matières suiviesLa vérité, il se souvient même plus, frère, il a été à l’école de la vie, lui, c’est ça qui compte.
Vie associative / hobbiesSi vous demandez à Toni ce qu'il fait de son temps libre, il y a des grandes chances qu'il vous réponde avec un grand sourire "baiser des meufs". Plus objectivement, il passe tout son temps à cultiver sa vie sociale, traînant avec ses amis, enchaînant les soirées et rencontrant de nouvelles personnes.
Bord politiqueA l’instar de ses associés, Toni a, en quelque sorte, son propre parti politique qui est celui des Veilleurs. Tous ses choix se font en fonction des intérêts de son gang et sa prospérité.
Relation au régime Marchebank A l’heure actuelle, très collaborateur puisque c’est le régime qui a permis à leurs affaires de s’étendre. Toni n’a cependant pas une position de soutien par principe, son allégeance pourrait changer selon ses intérêts et ceux de ses amis.
Devant le miroir du Risèd, tu vois…Il verrait son frère Cesare, arborant l’un de ses doux sourires, et cette vision lui briserait probablement le coeur.
Si tu étais un Animagus tu serais…Un taureau comme son Patronus lui plairait beaucoup, mais c’est très voyant. Il pourrait aussi être un gros chien poilu, affectueux et fidèle, tel un leonberg.
Ton Patronus est (ou sera)…Un taureau de combat, fonceur et sanguin.
Description physiqueQuelle est la première chose que les autres remarquent chez toi ?Difficile de dire ce qu’on remarque en premier chez Toni, entre ses pectoraux saillants derrière ses chemises serrées, ses cols ouverts dévoilant une forêt de poils, ses rires tonitruants, son anglais plein de « r » roulés et ses grands éclats ponctués d’insultes. Antonino Tessio, c’est beaucoup d’informations à la fois qui se percutent et suivent ses grands pas désordonnés. Mais s’il faut retenir quelque chose de très remarquable -pas systématiquement la première heureusement- nous dirons que trop de gens ont vu les fesses musclées d’Antonino sans l’avoir demandé à des moments tout à fait inopinés et si la vision n’est pas désagréable, il peut en ressortir une forme de traumatisme pour lequel vous ne serez pas dédommagé.Quand tu te regardes dans le miroir, qu’est-ce que tu aimes et que voudrais-tu changer ?Toni voue un grand amour à son corps, ce qui n’est un secret pour personne. Il se trouve beau, grand et il sculpte soigneusement cette silhouette par des exercices de musculation quotidiens. Il peut passer un long moment à s’admirer dans ce miroir en prenant des poses de culturiste juste pour le plaisir de faire saillir son rond pronateur, ou autre muscle dont personne ne connaît l’existence. Il aime aussi beaucoup voir les tatouages qui parsèment son corps, principalement sur son buste, son dos et ses mains. Chacun d’entre eux a une signification longuement choisie ou presque -il n’est pas aussi mono-maniaque que Fergus qui l’a initié dans ce domaine, parfois il fait juste des tatouages qu’il trouve rigolos ou jolis. Il aime particulièrement ceux qui représentent des moments forts de sa vie ou des personnes chères à son coeur : l’élan stylisé au creux de son poignet symbolisant Fergus, le V des Veilleurs sur l’intérieur de son biceps qu’ils sont quatre à arborer, le laurier pour son frère Cesare sur son pectoral gauche, le soleil levant au creux de son coude pour Avalon. Si tu devais choisir entre passer ta vie en salopette et passer ta vie en tailleur/costume, qu'est-ce que tu choisirais ?Toni choisirait le costume sans hésiter, car cette tenue lui donne un air plus imposant et flatte mieux sa silhouette, même s’il est ce genre de personne un peu insupportable qui paraît bien foutu dans environ n’importe quelle tenue. Il n’est pas rare de le voir en bleu de travail, toutefois, généralement en train de repeindre une pièce chez les Avner, ou réparer une plomberie cassée, sur la demande express de Damnhait. Caractère
Si un de tes parents devait te décrire, que dirait t-il ?Il faudrait s’adresser à sa mère et son beau-père, les seules personnes qui l’ont vu grandir et seraient aptes à parler de l’enfant qu’il a été. Giacoma en parlerait comme d’un bon garçon, aimant, courageux, en laissant voir son regret de l’avoir vu se transformer suite au drame qui a déchiré sa famille, et de ne plus avoir de contacts très réguliers avec lui, maintenant qu’il a refait sa vie en Angleterre.
Risquerais-tu ta vie pour tes idées et/ou pour tes proches ?Toni ne penserait même pas aux éventuels risques qu’il encourt s’il devait se jeter la tête la première dans une situation dangereuse pour sauver un proche. Il a tendance à agir bien avant de réfléchir, poussé par un instinct très fort qui le guide au quotidien. Aux quelques personnes avec qui il s’est intimement lié, Toni offre une loyauté profonde et sans limites, pas même celle de la préservation de sa propre vie.
Qu’est-ce qui t'horripile le plus dans le comportement des autres ?Les attitudes condescendantes qui lui renvoient l’impression d’être un idiot ont tendance à réveiller de vieux complexes chez Toni, ce qui peut le pousser dans de grands éclats de colère. Ses deux amis -mais aussi pires ennemis parfois- que sont Jayce et Roy s’amusent de temps à autres à jouer avec ce feu sensible, avec une dextérité qui leur permet de se rétracter juste avant de se brûler.
Quelle est ta plus grande peur ?Toni ne saurait guère répondre lui-même à cette question, puisqu’il a tendance à penser qu’il n’a peur de rien ni personne. Pourtant, il a bien une crainte, qu’il n’a jamais formulée, mais qui se lit en filigrane derrière le soin qu’il met à entretenir son corps, le rythme soutenu de son quotidien dont il a besoin pour se sentir vivre. Toni a peur de se réveiller un jour, dans un corps esquinté par la vieillesse ou la maladie, qui ne serait plus capable de le porter dans toutes les aventures qu’il veut vivre.
Relations
Qui est la personne que tu aimes le plus au monde ? Le plus grand amour de sa vie est certainement Fergus, son meilleur ami et son frère de coeur, qui a été son pilier à un moment où tous ses repères étaient détruits, et qui n’a jamais cessé de l’être depuis. Il ne conçoit plus sa vie sans lui et d’ailleurs, s’ils n’étaient pas parfaitement hétérosexuels, ils apparaîtraient probablement comme une espèce de couple fusionnel tous les deux -ce qui n’empêche pas certaines personnes de le dire. Mais dans ce domaine, le coeur de Toni bat plutôt pour Elva Avner, presque dès l’instant où il l’a rencontrée. Ainsi fonctionne l’attachement d’Antonino, il s’accroche vite et fort aux quelques personnes qui marquent son existence.
À quel point es-tu proche de ta famille ?Si l’on parle de sa famille de sang, Toni s’est brutalement éloigné d’eux depuis le jour où il a décidé de partir en Angleterre, sans demander la permission de personne. Depuis quelques années, il a repris contact avec eux, il ne manque pas de les appeler de temps à autres pour prendre de leurs nouvelles, surtout de son petit frère et de ses demi-soeurs qui grandissent trop vite. Ce n’est pas un sujet dont il parle beaucoup, si bien que la plupart de ses connaissances en Angleterre ne savent même pas que ces personnes existent.
As-tu des difficultés à te sociabiliser avec les autres ? Non seulement Toni n’a absolument aucune difficulté pour se socialiser avec les autres, mais en plus, il en a besoin pour s’épanouir. Passer une journée sans parler à personne ou devoir subir un confinement de type lutte contre le covid serait la pire des punitions pour lui. Les moments où il se retrouve seul sont rares, puisque les quelques fois où il rentre dans son appartement, il est souvent accompagné d’une amante, et le reste du temps, il squatte la villa d’un de ses amis. Ce contact très facile qu’il a avec les gens est un atout précieux pour le gang des Veilleurs, puisqu’il a un carnet d’adresses interminable qui lui permet de répondre en toutes circonstances, face à n’importe quel problème « Attends, je connais quelqu’un qui va nous sortir de là ».
Accordes-tu facilement ta confiance ?Toni n’a pas de problème avec le fait d’accorder sa confiance, mais il le fait sans naïveté. Il a tendance à prendre toutes ses décisions en se fiant à son instinct qui est toujours très bon pour évaluer le danger ou le mensonge.
Histoire
Raconte-nous une scène marquante de ton enfance« Pourquoi tu fais cette tête, Tonino, ça va pas ? »
Le petit garçon d’à peine huit ans ne lève pas le regard vers son frère aîné et continue à faire des dessins sur le sol sableux du bout d’un bâton, juste devant la porte de la maison, où il s’est accroupi. Sans se démonter, avec ce sourire tranquille qui le caractérisait, Cesare insiste un peu, en s’asseyant aux côtés de son cadet, sur les deux marches devant la porte :
« Tu veux pas aller jouer avec tes potes ? Il fait super beau aujourd’hui.
-Nan. Ils sont cons. J’les déteste. »
Ses gestes se font plus vifs, alors qu’il se rappelle les méchantes paroles qu’il a reçues. Doucement, Cesare pose sa main sur celle de Toni.
« C’est à cause de l’incident d’hier ? »
Le ton plein de douceur son frère pèse lourdement sur le coeur du garçon et suffit à fissurer ses barrières. Il n’est de toute manière pas capable de masquer bien longtemps ses émotions, surtout face à Cesare qui le connaît par coeur. Il sent la culpabilité et l’inquiétude qu’il masquait derrière sa colère le submerger. Il sait qu’il ne peut pas retenir plus longtemps les pensées qui s’ébouillantent dans sa tête. Il sait que, s’il doit se confier à quelqu’un, Cesare est la meilleure personne pour recevoir ses confessions. Perdu, il avoue dans un souffle :
« Je… C’était pas un incident. Je voulais que ça arrive.
-Comment ça ?
-Eh bah… Giulio s’est moqué. Il a dit… Il a dit que Dario était un bon à rien, qu’il allait finir dans un caniveau ou disparaître comme papa. » Ses sourcils se froncent à ce souvenir, où on s’est pris à deux points sensibles chez lui. « Alors je me suis jeté sur lui et on s’est battus. A un moment il m’a repoussé. Alors j’étais très en colère, je l’ai regardé très fort. » Ses mots s’arrêtèrent parce qu’il ne sait pas comment décrire l’espèce de sentiment de fureur et de puissance dont il s’est senti investi. « Et il a valsé dans les airs. Comme ça. Tout seul. »
Il n’a pas bougé, cloué au sol par la douleur des coups qu’il a reçu. Les enfants autour d’eux, témoins et spectateurs de la bagarre, ont hurlé en volant le corps de Giulio s’envoler, s’immobiliser quelques secondes dans les airs puis retomber comme un chiffon. Toni sait de quoi ce récit a l’air. D’un acte de possession démoniaque ou de magie, ce dont on n’a pas tardé à l’accuser d’ailleurs. La mère de Giulio a frappé à leur porte, peu de temps après l’incident, et Toni a entendu sa mère se disputer avec elle à ce sujet. Il n’a aucune envie de se confronter au regard des autres, qui lui rappelle sans cesse combien il est différent : sans père, sans repères, et désormais fou et dangereux visiblement.
« Tu sais, Cesare, parfois je veux très fort des choses et ça arrive. Juste… par la force de ma pensée » dit-il d’une petite voix.
Il espère beaucoup que Cesare a une réponse pour expliquer les événements paranormaux dont il est de plus en plus souvent victime. Il espère que cela va prendre fin, car il n’a pas envie qu’on l’accuse pour toujours de toutes ces choses horribles qu’il a entendues la veille. Comme s’il a entendu sa prière silencieuse, Cesare l’attire dans ses bras, une main posée sur sa tête. Toni s’y cache, en fermant les yeux.
« On va régler ça. N’en parle pas au prêtre. Si quelqu’un t’interroge, tu dis que tu n’y es pour rien. Et s’il se passe encore quelque chose de similaire, tu viens m’en parler directement, d’accord ? » Toni ne le sait pas encore, mais ce précieux conseil est celui qui lui garantira une relative tranquillité pour le reste de sa jeunesse, avec la présence de son frère pour couvrir l’existence de ses pouvoirs magiques face à ceux qui ne faisaient pas partie de leur cellule familiale. « Tu n’es pas anormal, Tonino. Ça va aller. »
Quel est le meilleur enseignement que tu aies tiré de ta scolarité et de ta vie en général ?Toni dirait « me battre » et en effet, se jeter à toute occasion la tête la première dans la bagarre a fait de lui un excellent duelliste, ainsi qu’un très bon boxeur. C’est environ les seules raisons pour lesquelles il utilise sa baguette d’ailleurs. Ayant grandi dans une famille moldue et plutôt à l’aise dans les travaux manuels, Toni n’a pas pris l’habitude d’utiliser la magie pour les actes du quotidien.
Qu'est-ce que tu te voyais faire, comme métier, quand tu étais petit ? Qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ? Comment expliques-tu l'écart entre les deux ?Toni a toujours plus ou moins baigné dans un milieu mafieux, puisque ses oncles maternels étaient liés à ce milieu. Petit, il enviait leurs beaux vêtements et ce luxe auquel ils n’avaient pas le droit, lui et ses frères, à tenter de survivre avec leur mère dans une situation relativement précaire. Giacoma a toujours fermement refusé cet argent sale, préférant gagner sa vie honnêtement sans aide, malgré le départ brutal de son mari. Au fond, Toni a toujours été fasciné par cette vie d’adrénaline pure et sensible à l’appel de l’argent facile. Une fois à Bristol, il n’a pas cherché à résister à l’opportunité de s’y laisser tomber.
Qu'est-ce que tes parents ont fait (ou n'ont pas fait) pour que tu sois aujourd'hui la personne que tu es ?Sa mère, par son comportement pugnace, lui a appris à se dépasser pour obtenir ce qu’il souhaite. Son frère Cesare, forme de figure paternelle, lui a transmis quelques valeurs encore très importantes pour lui : celle de la famille, de la loyauté. L’absence de son père, elle, l’a marqué de bien des manières qu’il n’analyse pas vraiment aujourd’hui. Il tient de lui une espèce de crainte très profonde et très intégrée qu’à tout moment, une personne à qui il tient peut s’en aller. Sa manière de s’en prémunir prend deux voies contradictoires, celle des amitiés fusionnelles, rassurantes, fraternelles qu’il entretient avec quelques personnes élues et à l’inverse, un besoin absolu de conserver son indépendance sur le plan amoureux, qui fait qu’il n’a jamais approché une vraie relation de couple.
Anecdote libre« Attends-moi là, je reviens vite. »
Tel un fidèle chien de garde, Toni s’arrête au pied des marches du perron et regarde son ami disparaître derrière la porte d’entrée. Il lève le regard sur les trois étages de l’imposante maison en brique qui se dresse devant lui, dans cette architecture typiquement britannique de laquelle il commence à être familier maintenant. Ses yeux se posent sur tous ces éléments sur lesquels Fergus a posé des mots, un jour. « Colonne ». « Bow-window ». « Arche ». Il répète du bout des lèvres, aussi bien pour s’occuper, en attendant que son ami revienne, que pour réviser son anglais. Il lui manque encore beaucoup de vocabulaire, il le sait. Parfois, il se prête avec ce jeu avec Fergus où ils se désignent mutuellement des objets qui les environnent, pour poser dessus les mots dans leur langue natale à chacun. Toni est obligé d’apprendre l’anglais s’il veut pouvoir s’intégrer dans cette nouvelle vie. Fergus, lui, semble simplement apprécier les sonorités de l’italien.
C’est la première fois qu’il découvre la maison familiale des Avner alors il se montre curieux de ce que son ami l’autorise à voir, ces quelques détails qui révèlent quelques éléments de sa vie : la croix en bois ouvragée, clouée sur la porte, les pots de fleurs foisonnantes dans le perron, les jouets d’enfant oubliés sur l’herbe, les rideaux aux couleurs chaudes derrière les vitres. Il entend plusieurs voix confuses à l’intérieur, un peu trop lointaines pour qu’il puisse saisir ce qu’elles disent. Toni n’est pas frustré de ne pas pouvoir rentrer et rencontrer toutes ces personnes : il est lui-même précautionneux sur l’évocation de sa famille, il ne cherche pas à interroger les raisons qui pousse Fergus à ne pas lui présenter les siens. S’il doit les rencontrer un jour, cela arrivera en temps voulu.
Pris dans ses observations, il surprend le visage d’une petite fille de peut-être sept ou huit ans, au nez et aux mains littéralement collés à la fenêtre sur sa gauche. Elle l’observe avec ses grands yeux et sursaute légèrement quand elle se rend compte que Toni l’a remarquée. Après quelques secondes où ils s’observent, Toni finit par afficher un grand sourire chaleureux et lui fait un signe de la main, sans savoir que cette scène anodine est le début d’un coup de foudre pour la petite Moreen Avner.
Que fais-tu si...
Le monde entier apprend que tu dors avec un doudou dragon rose ?Le ridicule n’intimide pas du tout Toni, il en faut plus qu’une peluche rose pour le terrasser sur ce plan-là. Il assumerait probablement ce ragot en amusant la galerie avec des anecdotes sur son merveilleux doudou.
Tu assistes à une arrestation musclée de la Milice en pleine rue ?A moins qu’il s’agisse d’un Veilleur, Toni se contente d’apprécier le spectacle de ce combat qu’il trouverait très divertissant et lance des paris.
Ton patron critique violemment ton travail ?Celui qui s’aventure à le critiquer ouvertement se heurterait à son imposant ego. Qui que soit le patron en question, Toni le supporterait très mal et se mettrait sur une posture très défensive. Sachant qu’en l’occurrence, ses patrons sont aussi ses amis Roy et Jayce, il ne s’en insurgerait que davantage : d’où ils se permettent de lui parler comme ça ?!
Tu te perds en plein milieu de la Forêt Interdite ?Toni ne reconnaîtrait jamais qu’il s’est perdu. Par ses talents de conteur, il en ferait une histoire incroyable où il en est sorti plusieurs jours plus tard, avec l’oeil fou, les vêtements déchirés et une barbe fournie, en disant qu’il a vécu une incroyable aventure qui lui a permis de repousser ses limites et se découvrir en tant qu’homme primitif.
Tu as un Retourneur de Temps entre les mains ?Il aurait un moment d’hésitation terrible, poussé par une profonde envie de revenir sur l’acte impardonnable qui lui a brisé sa famille en morceaux. Puis il irait chercher les conseils de Fergus et conviendrait sans doute avec lui que cet événement dramatique fait partie de ce qu’il est devenu, que le supprimer revenait à prendre le risque de se séparer d’autres choses : des morceaux de sa personnalité, des rencontres qu’il a faites. Il finirait par s’accrocher à la sagesse de son ami et renoncer à ce désir irraisonnable.
Famille et entourage Salvatore Tessio - Père, 58 ans L'histoire de Salvatore et Giacoma ne tient pas vraiment du conte de fées, puisque le premier a été forcé d'épouser la seconde, après l'avoir accidentellement mise enceinte. Toutefois, avec les années, l'affection s'est développée entre eux, une routine de famille s'est installée et ils ont agrandi leur foyer. Quand Toni avait six ans, Salvatore a malheureusement quitté le domicile familial, sans un seul mot, sans jamais revenir. Personne n'est en mesure d'expliquer aujourd'hui pourquoi il est parti, ni même s'il est toujours vivant. Toni a quelques souvenirs de son père, comme de lointains flashs, un peu flous, mais il n'en parle jamais. Il n'en fait pas l'analyse, mais cet abandon l'a marqué bien plus qu'il ne le pense.  Giacoma Fellini - Mère, 56 ans La vie n'a pas été tendre avec cette femme qui a subi l'abandon et la mort de proches de la pire des manières. Dotée d'un courage sans failles, elle a reconstruit sa vie une première fois après le départ de son mari, puis une seconde fois après le meurtre de son fils. Cette dernière épreuve, en particulier, l'a profondément transformée, toutefois.  Massimo Fellini - Beau-père, 63 ans Quand Toni a eu dix ans, sa mère s'est remarié à cet homme bien sous tous rapports, qui a redonné un peu de structure à la famille Tessio. Toni ne l'identifie pas tout à fait comme une figure paternelle mais il a malgré tout été un repère plutôt stable dans son enfance, sur qui il a pu compter dans des moments compliqués.  Dario Tessio - Frère, 37 ans Si Toni est colérique, Dario, lui, est explosif. Bien trop jeune, il s'est rapproché des milieux mafieux, s'est payé toute son adolescence une réputation de délinquant infréquentable, a passé sa vie à inquiéter sa mère qui se tirait les cheveux de ne pas savoir dans quelles affaires il s'était encore fourré. Plus jeune, Toni admirait un peu ce grand frère plein d'ambitions, au fort caractère. Mais très vite, cet éclat chez lui a laissé place à un Dario pathétique, dépendant aux jeux, accro à l'alcool. Au détour d'une dispute très violente, il a accidentellement tué son propre frère. Cet événement a été une tragédie dont les Tessio ne se sont jamais vraiment remis. Toni a totalement coupé les ponts avec lui et refuse même d'en parler comme de son frère.  Cesare Tessio - Frère, décédé Cesare est peut-être la personne la plus proche d'une figure paternelle pour Toni, malgré le fait qu'ils n'avaient que cinq ans d'écart. D'un tempérament calme, conciliant, Cesare a très vite pris des responsabilités qu'il n'aurait pas du prendre, dans leur famille abandonnée par leur père. Il a énormément aidé sa mère à éduquer les deux plus jeunes, a sacrifié ses études pour pourvoir financièrement le foyer. Toute son existence, il s'est démené pour aider les siens, même Dario, et ce souci a fini par lui coûter la vie.  Leandro Tessio - Frère, 29 ans Lorsqu'on regarde le parcours de Leandro, il est presque impossible de deviner que des drames ont ponctué sa vie, tant il semble exempt d'échec. Epoux attentionné et brillant avocat, il ne manque plus que des enfants pour parfaire ce tableau. Est-il d'une résilience à toute épreuve ou intériorise t-il énormément de choses ? C'est un mélange des deux. Il est celui avec qui Toni a gardé le plus de contacts après son départ. Toutefois, ce n'est jamais sans culpabilité pour Toni, qui a un peu l'impression d'avoir failli à son rôle de grand frère avec lui en partant, même si Leandro ne le lui a jamais reproché.  Lucrezia Fellini - Demi-soeur, 16 ans Grande curieuse, Lucrezia pose toujours mille questions à Toni quand il revient en Italie voir sa famille, pas intimidée par sa grande carrure ni cette aura de mystère qui l'entoure, car personne ne sait vraiment tout ce qu'il fait dans ce pays lointain. Toni est assez attaché à elle, c'est la seule de ses demi-soeurs à qui il parle directement par messages, sans passer par sa mère pour avoir des nouvelles.  Analisa Fellini - Demi-soeur, 15 ans A l'inverse de sa grande soeur, Analisa est une enfant assez discrète. Il ne faut pas confondre cette réserve pour de la timidité, toutefois, cette adolescente marque souvent les conversations familiales de quelques sorties de son humour pince-sans-rire.  Gina Fellini - Demi-soeur, 12 ans Quand Toni a quitté le domicile familial, Gina n'était qu'un tout petit bébé. Il a dû apprendre à la connaître en retournant en Italie et la trouve, comme ses autres soeurs, lumineuse et chanceuse de grandir dans un foyer stable. Quelle administration ? Qu'est-ce qui vous a poussé à vous inscrire? Au bout d'un moment, le Méta ça va bien.  |  |  | Antonino Tessio « Qu'importent les crimes, morts, victimes innocentes, dans la vie, chacun sa chance » |
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