| Jayasimha VijayanGrand sage mafieux des montagnes |  Sam 17 Oct 2020 - 18:03 Jayasimha Vijayan Le monde n'a de constant que son instabilité
Age32 ans
Date de naissance21 décembre 1978, Sagittaire
Lieu de résidenceDans le Bristol moldus
BaguetteSéquoia, crins de licorne, 25cm
Animal de compagnieAvoir deux petites filles à gérer au quotidien et trois acolytes imprévisibles lui suffit amplement (à moins qu’il n’ait déjà essayé plusieurs fois de rapporter des animaux errant chez lui, dont une oie, mais que Sun se soit toujours fermement refusé à leurs adoptions. Elle a tout de même fini par accepter quatre poules, pour les œufs.)
AvatarVicky Kaushal
AutreJ’en ai marre d’utiliser le méta la vérité je vous le dis.
Curriculum Vitae
Métier / Année d'étudebinôme préféré de Roy Calder, Jayce aime assez se considérer comme un genre de DG amélioré. Le DG des Veilleurs, évidemment.
Maison / Ancienne MaisonGryffondor
Matières suiviesL’école de la vie désormais, et parfois c’est dur.
Vie associative / hobbiesTirer le tarot à ses amis, leur lire les runes, collectionner les pierres roulées semi précieuses et utiliser la lithotérapie sur sa femme qui n’y crois pas alors que c’est évident qu’elle y est réceptive. Jayce a de manière générale une passion pour tout ce qui touche à l’ésotérisme. Outre ses capacités naturelles pour l’art des potions il a une grande prédilection pour l’astrologie, l'arithmancie, et se passionne pour la magie tellurique et le spiritisme. La vision moldus de ces arts le fascine également, et il n’est pas rare qu’il assiste à des conférences sur le sujet. En toute discrétion, bien entendu. Jayce a aussi une passion pour les langues. A l’heure actuelle, il en parle huit, et en apprend trois. Ses heures se perdent dans l’apprentissage de jargons, de patois et de langues diverse de tous pays. Il a aussi appris à signer dans quatre langues, pour faciliter la communication avec Chandra, sa fille sourde. Il aime aussi follement s'occuper des animaux et traîne donc régulièrement dans les refuges.
Bord politiqueJayce est fasciné par la politique, il pourrait écouter ces gens pendant des heures dans le seul but d’analyser leurs propos. Jayce est fasciné par la politique, mais surtout d’un point de vue extérieur : il considère avant tout ses avantages et sa richesse. Il aurait presque l’audace de considérer son camp comme un parti politique à part entière. Après tout, l’argent permets de faire et défaire un gouvernement, et il possède les deux, en abondance…
Relation au régime MarchebankJusqu’à présent Marchebank s’est montré très arrangeant avec les Veilleurs. Tant que leurs intérêts communs les mèneront sur la même route, Jayce est prêt à soutenir Leopold et ses ambitions.
Devant le miroir du Risèd, tu vois…En fonction de son état d’esprit Jayce voit soit sa famille et ses proches en bonne santé, heureux, au comble de la réussite. Soit ses parents enfermés dans un temple frappés par un prêtre muni d’un long bâton.
Si tu étais un Animagus tu serais…Un paresseux, qui ne se déplace que pour manger de larges feuilles d’eucalyptus et par là-même s’infliger l’équivalent d’un énorme joint.
Ton Patronus est (ou sera)…Un écureuil géant de l’Inde.
Description physiqueQuelle est la première chose que les autres remarquent chez toi ?
Parfois Jayce ne sourit pas, mais c’est rare. Son sourire prend des aspects multiples, retranscrit tous les dégradés subtils de ses émotions contrôlées. Sourire enjôleur, sourire câlin, sourire tendre, sourire complice. Pâtes d’oies émues, attentives ou moqueuses. Sa colère pareillement feule de cet air apaisé et se contente de remplacer la chaleur par le froid à peine perceptible d’un mépris dissimulé. Jayce est sans doute, du quatuor, celui qui paraît le plus accessible, le plus simple à vivre. Il y a quelque chose chez qui, peut-être, prend racine dans ce sourire perpétuel, cette bonne humeur imperturbable, qu’on remarque qu’on aime instinctivement et à laquelle on veut accorder sa confiance. Personne ne remarque par contre le loup qui se cache sous la peau de l’agneau.
Quand tu te regardes dans le miroir, qu’est-ce que tu aimes et que voudrais-tu changer ?Depuis qu’il est marié à sa superbe femme, Jayce fait des efforts quotidiens pour rester désirable. Souvent le soir il s’observe, s’inquiète de prendre quelques rides, de grossir un peu, ou de loucher. Il attend l’avis de son épouse pour oublier ou valider ses inquiétudes, il a mis son physique à sa disposition et l’entretient aussi pour son plaisir à elle. Elle aime sa barbe, alors il la taille avec attention, prends soin de sa peau. Jayce est ce genre d’homme capable de passer une semaine en spa sans être parvenu au bout de ses soins. Et quand quelque chose chez lui dessert sa perception positive, alors il travaille pour s’aimer à nouveau.
Si tu devais choisir entre passer ta vie en salopette et passer ta vie en tailleur/costume, qu'est-ce que tu choisirais ?Pourquoi choisir lorsqu’on est libre de porter les deux ? Jayce aime les vêtements, il aime les couleurs, il aime les motifs, il est capable de tout porter sans limite. Un jour vêtu d’une veste très sport et de basket de marques, le lendemain d’un costume sur mesure aux textile original, il choisit toujours soigneusement ses tenues mais saute d’un genre à l’autre sans se préoccuper de cohérence. Comme son caractère ses goûts vestimentaires s’adaptent à ses envies, fluctuent avec ses caprices. Cette veste n’ira avec rien ? Peut-importe, il trouvera bien une façon de la porter. Caractère
Si un de tes parents devait te décrire, que dirait t-il
Très croyants et très moldus les parents de Jayce ont assez tôt dans sa vie, décrété que leur fils, doué de capacités invasives, inexplicables et souvent dangereuse, s’était fait posséder par le diable d’un sorcier qui l’avait fait devenir sorcier lui-même. Ils ont appliqué à leur enfant plusieurs types d’exorcisme qui ne l’ont pas guéri de sa possession, alors ils ont pensé que peut-être il avait vendu son âme. A partir de son entrée à Poudlard, Jayce a refusé de rentrer chez lui. Depuis qu’il en est sorti il n’a pas souhaité reprendre contact avec sa famille.
Risquerais-tu ta vie pour tes idées et/ou pour tes proches
Jayce est fluctuant comme l’onde, adaptable comme un poisson face au courant, il n’a de conviction que celle de préserver ses intérêts et ceux des êtres rares qu’il a choisi. Pour eux il pourrait mourir, mais les idées changent et évoluent, et mourir pour elles n’a d’autre résultat que de ne plus pouvoir se battre.
Qu’est-ce qui t'horripile le plus dans le comportement des autres ?
Jayce n’est pas facilement irritable, tout semble glisser sur lui sans qu’il y accorde la moindre importance. Il ne juge pas non plus facilement, ne médis pas outre mesure. Peut-être pourrait-il s’offusquer d’une personne tout à la fois susceptible et capable de moquerie mais même encore, il estimerait que le pauvre homme a sans doute plus de tristesse à être lui-même que lui à s’offusquer d’un tel comportement. Il est très rare que Jayce se mette en colère ou soit excédé par quelqu’un ou quelque chose. Et s’il l’est, il le dissimule si bien que rien peut-être à part son corps n’est capable de s’en rendre compte.
Quelle est ta plus grande peur ?
Jayce étouffe ses peurs avec un savoir faire destructeur. Ses traumatismes s’essoufflent contre son indifférence, sont réprimés par sa volonté. Il craint pour ses filles, pour sa femme, pour la vie de ses associés et souffrent avec eux lorsqu’il les sent malheureux ou frustrés. Mais ses peurs primaires, ses peurs enfouies, il ne les exprime pas, ne les laisse pas vivre, et pense ainsi les garder sous contrôle.
RelationsQui est la personne que tu aimes le plus au monde ?
? Sa femme, ses deux filles, son meilleur ami, sont tous des aspects primordiaux de sa vie.
À quel point es-tu proche de ta famille ?
Aucun point. Jayce, qui a deux frères, deux sœurs, tous plus âgés, ses deux parents et une famille large encore en vie, ne les évoque jamais. Sa famille, c’est Sundari, c’est Meera, c’est Chandra, c’est Roy encore, mais ça n’est aucun de ceux qui partagent son sang. Pour lui ces gens n’existent plus, ils sont morts au moment où ils ont tué son innocence. Il ne cherche pas à les revoir, ne veut pas en entendre parler, ne leur accorde en théorie plus une pensée. Ils sont tous enfermés dans les tréfonds de sa mémoire.
As-tu des difficultés à te sociabiliser avec les autres ?
Aucune. Jayce est quelqu’un de fondamentalement sociable : il aime l’animation, se trouve très à l’aise avec les inconnus, apporte facilement calme, bonne humeur et chaleur dans un groupe. Il sait faire en sorte de mettre ses interlocuteurs en confiance, les faire se sentir bien et désirés. Il mime l’intérêt à la perfection, et sa curiosité enjouée délie les langues les plus rigides. On peut vite se sentir proche de lui, mais c’est seulement une impression qu’il donne. S’il est aisé de croire qu’on a aperçu le caractère intime de Jayce Bowers, très souvent on n’en a caressé que la surface.
Accordes-tu facilement ta confiance ?
Jayce est une tombe. Il a près de lui, de son vrai lui, un nombre de personne extrêmement limitées, et même à leur yeux – ceux par exemple exercés de Roy ou de Sun,- il reste très secret. Il est facile de croire au masque que porte Jayce en permanence, celui qui clame que tout va bien, que tout ira bien, que tout est bien, toujours, en permanence. Mais au fond de ce corps qui se déplace avec des gestes paresseux et un peu sensuel existe une ombre ravagée qui creuse pour enfermer un peu plus profondément chaque jours les souvenirs, les traumatismes et les douleurs. Histoire
Raconte-nous une scène marquante de ton enfance
Le temple est glacé. À l’entrée de la première salle, ce n’est pas le tintement des cloches qui accueillent Jayasimha mais des cris de rage et des imprécations inarticulés, des glapissements, des borborygmes qui lui raidissent le corps et lui glacent les os. Sur son épaule la main de son père qui sert fermement ses os. Jayasimha recule, il ne veut pas entrer dans ce temple, il n’y a pas la chaleur habituelle des prières et l’odeur tendre de l’encens. Il le dit, je ne veux pas y aller. Mais son père le pousse en avant, sa mère ne le regarde pas. Il répète : je ne veux pas y aller ! Tente d’échapper à la prise lorsqu’il aperçoit par l’ouverture des grandes portes en battants des femmes qui se tordent sur les dalles, ce sont elles qui hurlent. Leurs os craquent, elles ont les yeux révulsés, dans le fond un homme se frappe la tête contre le mur. Jayasimha retient ses larmes, sa gorge se noue, ses jambes s’immobilisent. Tout son corps se met à trembler frénétiquement. Le prêtre tient un long bâton dans la main. Jayasimha lève les yeux vers lui, des yeux suppliants. On lui jette de l’eau glacée au visage, quelques goûtes. Il sursaute. La main de son père quitte son épaule, il se demande s’il peut encore fuir mais le prêtre fixe ses yeux dans les siens. Il est seul désormais dans ce temple.
Quel est le meilleur enseignement que tu aies tiré de ta scolarité et de ta vie en général ?
De son enfance, Jayce a appris que rien n’est stable, que rien n’est sûr, que la haine cohabite dans l’amour et que la différence est une terrible souffrance. De ses années à Poudlard, grâce à Roy, Jayce a appris à faire confiance, ce dont il n’était plus capable. Il a dû apprivoiser la sorcellerie, ainsi que ses pouvoirs, pour lesquels il a eu de forts rejets, qui surgissent encore parfois comme un résidu de traumatisme. Avec Sun et Roy, il s’est reconstitué une stabilité à laquelle il croit, dans les deux aspects les plus importants de sa vie. Et même si quelque chose en lui lui souffle encore chaque jour qu’on peut toujours le trahir, sa vie d’adulte désormais lui apprend à vivre au jours le jours sans écouter ces voix.
Qu'est-ce que tu te voyais faire, comme métier, quand tu étais petit ? Qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ? Comment expliques-tu l'écart entre les deux ?
Jayce se souvient qu’un jour dans son enfance il a voulu travailler dans les refuges. Sauver des animaux, s’en occuper, les ramener à la vie. Leur rendre l’affection qu’on leur avait volé, la liberté dont on les avait privé. Il a gardé quelque part en lui cette volonté de faire le bien, mais ne la transmets plus aux êtres humains. Sa famille a brisé toute confiance et désormais il ne prodigue plus ces soins qu’aux animaux. Avec les humains, il fait affaires. Et il y en a peu dont il souhaite réellement le bonheur.
Qu'est-ce que tes parents ont fait (ou n'ont pas fait) pour que tu sois aujourd'hui la personne que tu es ?
Jayce entretient une relation d’une extrême ambivalence avec sa culture, ses racines, et ce qui le rattache à sa famille. Il s’est construit avec, dans un bonheur cotonneux, privilégié, éduqué. Jusqu’à ses sept ans où ses premières manifestations magiques l’ont transformé presque du jour au lendemain en marginal craint, violenté, puis répudié. L’enfant que Jayce a verrouillé en lui et à qui il évite de s’adresser a laissé une trace profonde en lui vis-à-vis de ces modèles qui, d’amour et soutient, sont devenus brusquement à ses yeux d’enfant, de cruels tortionnaires. Il en garde une profonde haine de lui, inconstante, qu’il musèle la plupart du temps mais qui s’échappe parfois et avec laquelle il lui arrive de cohabiter. Plus tard encore alors qu’il entretenait toujours avec eux une correspondance évasive, c’est leur opposition aux fiançailles qu’il désirait officialiser avec Sun qui l’a poussé à réaliser ce mariage coûte que coûte. Jayce, son rapport à la magie, sa double nationalité, le traitement marquant de sa famille, en font un homme aux rapports identitaires complexes, qui ne peut se saisir totalement de l’une ou l’autre de ses racines, et tente encore à trente-trois ans de comprendre qui il est.
Anecdote libre
- Pourquoi tu ne veux pas faire l’exercice qu’on te demande, Jayasimha ? » Le professeur le dévisage depuis sa chaise. Il a prononcé toutes les lettres de son prénom, Jayasimha garde les yeux baissés sur son pupitre, digne, les mains jointes. Il a onze ans, c’est son premier mois à Poudlard, et pour le moment il n’a pas encore touché à sa baguette.
- Jaysim-ha.
- Pardon ?
- Mon prénom, » explique-t-il doctement, « se prononce Jaysim-ha. » Quelques rires étouffés éclosent à travers la classe, discrets.
- Hé bien, Jaysim-ha, peux-tu répondre à la question que je t’ai posée ?
- Je n’ai pas envie.
- Pardon ?
- Je ne veux pas faire de sorcellerie, répète le petit garçon avec une fermeté tranquille.
- Tu sais ce que ça me force à faire, dit le professeur. Je n’en ai pas envie, mais si tu refuses de travailler il faut que je t’envoie en retenue.
Jayasimha fait signe de la tête qu’il comprend, et qu’il se pliera aux exigences de la maison. Il est impossible pour lui de s’adapter à ce nouvel univers. Impossible de trouver la sorcellerie fascinante, belle, extraordinaire comme il semble que c’est le cas pour la majorité des enfants qui l’entoure. Il sent le faussé qui le sépare des autres. C’est un abysse immense. Jayasimha refuse beaucoup de choses. Il passe donc beaucoup de temps en retenue.
Le soir il y a encore ce garçon qui est dans son dortoir et qu’il observe depuis qu’il est arrivé. Ils ont déjà échangé des regards mais ne se sont jamais vraiment adressé la parole. Il émane de lui quelque chose de réciproque qui l’attire, Jayasimha ne sait pas l’expliquer, il le sent, c’est tout. Et ce n’est pas la première fois qu’ils se retrouvent en retenue ensembles. Jayasimha trouve que c’est une opportunité. Celui-là, c’est le seul gosse avec qui il a envie d’avoir un échange. Doucement, il se tend vers lui, dans le silence plombant de la salle.
- pssst. Hé. Roy c’est ça ?» Le garçon se tourne vers lui, les sourcils levés, suspend sa plume.
- Jayasimha c’est ça ? »
- Jaysim-ha.
- Ok, Jayce.
- Ça te tente un petit challenge, Roy ? » Jayasimha sourit et regarde le visage de son interlocuteur s’éclairer d’un intérêt tout neuf. A son tour il se penche dans sa direction.
- Je suis toujours intéressé par les défis.
- Alors qu’est-ce que tu dirais de lâcher cette feuille et de m’accompagner explorer ce truc immense et dangereux qu’ils appellent une école ?
- Toi, t’es moldus. » Jayce hausse les épaules.
- Aucune idée de ce que ça veut dire. » D’un geste, il fourre ses affaires dans son sac et se lève discrètement. « Si tu me suis dépêche. »
Roy ne met que quelques secondes à la rejoindre pour la première soirée d’exploration de sa vie. Quelques secondes qui sont devenus des heures, puis des semaines, des mois, et enfin des années partagées, de défis, d’intérêts et de soutient commun. Enfin aujourd’hui Jayce béni sa rencontre si rapide avec Roy. Il croit encore que sans ça, peut-être se serait-il effondré pour toujours.
Que fais-tu si...Le monde entier apprend que tu dors avec un doudou dragon rose ?
Le monde entier l’a appris car Jayce l’a dit au monde entier. Parce qu’il s’en fou.
Tu assistes à une arrestation musclée de la Milice en pleine rue ?
Encourager tout le monde, la milice, puis les détenus, en criant, fort, en souriant, beaucoup.
Ton patron critique violemment ton travail ?
C’est précisément pour ce genre de raisons qu’assez tôt dans sa vie, Jayce a décidé de devenir à terme son propre patron. Lorsque ce n’était pas encore le cas, et que ça lui arrivait d’être remis dans le droit chemin (souvent en compagnie de Roy,) Jayce inclinait poliment la tête, baissait les yeux, et se moquait plus tard en adressant à Roy un panel d’imitations bien senties.
Tu te perds en plein milieu de la Forêt Interdite ?
Le charme sympathique de Jayce fonctionne aussi sur les centaures, et les acromantules. Il en ressort donc avec de nouveaux amis.
Tu as un Retourneur de Temps entre les mains ?
Il l’offre à Roy, Fergus ou Toni : lui ne regrette personnellement rien, mais il sait que ses amis ont souffert. Famille et entourage Sundari Bowers - 33 ans - femme Sundari et Jayce ont vécu une histoire d'amour digne d'un roman, Roy en témoignera. Pour être ensembles, ils ont bravé des épreuves, traversé des tempêtes, souffert, pleuré, beaucoup. Mais depuis leur seize ans leur amour est indéfectible et malgré leurs douze ans de mariage, trouve encore le moyens de grandir. Ils sont les meilleurs amis, et Jayce, qui pourtant est environné d'hommes qui auraient pu lui en donner la tentation, n'a jamais eu pour d'autres femmes un seul regard.  Chandra Bowers - 7 ans - fille Chandra est vive et intelligente. Elle semble avoir compris rapidement en quoi consistent les affaires, adule Toni et Roy, a un petit faible pour Fergus qui ne l'impressionne absolument pas. Chandra est sourde. Elle sent bien que ça inquiète ses parents, son père particulièrement, qui est très attentif à elle, très protecteur, et elle ne comprend pas bien pourquoi. Elle, ça va, c'est de naissance alors elle ne considère pas vraiment ça comme un handicape, c'est juste pénible que les gens en dehors de sa famille et de son école ne fassent pas plus d'efforts pour la comprendre. Elle a hérité de la sociabilité de son père, alors elle aime aller vers les autres, mais parfois ça l'épuise. Heureusement ses parents ne sont jamais loin pour faire les interprètes.  Meera Bowers - 3 ans - fille Meera est très influencée par sa grande soeur. Quand Roy est là, elle aime particulièrement traîner dans ses pieds. Il lui apprend des mots, il fait beaucoup de blagues, et même si elle ne comprends pas tout elle veut rester avec lui. En plus, il sent bon. - Code:
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