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Adrian Melchior Calder

Adrian Calder
Adrian CalderSa Majesté de l'humour
Messages : 132
Profil Académie Waverly
Adrian Melchior Calder Icon_minitimeJeu 30 Avr 2020 - 22:33
Adrian Calder

That's what you do, innit? You protect your family.

Age20 ans

Date de naissance5 juin 1990

Lieu de résidenceLaragh, co. Wicklow, Irlande.

BaguetteBois de vigne, ventricule de cœur de dragon, 26,43 centimètres, rigide, parfaite pour les enchantements.

Animal de compagnieSes poissons sont morts depuis longtemps, il faudrait vraiment qu'il en trouve d'autres. Pour le moment il n'a qu'un cactus - Toby - sur sa table de nuit.

AvatarNasser Saleh -> Sergio Reguilón

AutreYthel je t'aime, pardonne moi. Première fiche trouvable ici, si les deux se contredisent, celle-ci prend le dessus.


Curriculum Vitae

Métier / Année d'étudeAprès réorientation - vigile chez Fleury & Bott c'était pas complètement une vocation - le voilà désormais botaniste à plein temps. Isolé dans les "montagnes" Irlandaises il gagne son pain dans une ferme à cultiver une grande variété de plantes magiques. Mais pitié tenez vos créatures à distance, il n'aime vraiment pas ça. Et surtout ne lui dites pas qu'il est fermier, ça n'a aucun rapport. Aucun. Arrêtez.

Maison / Ancienne MaisonSerpentard.

Matières suiviesA obtenu ses ASPIC en sortilèges, étude des moldus, divination et botanique.

Vie associative / hobbiesAdrian est un fervent supporter de sport, les vrais, pas le Quidditch ou autre farce de ce genre. Il n'est pas rare de le voir posé devant sa télé à crier sur l'arbitre, que ce soit du foot, du rugby ou même plus récemment du G.A.A. -assimilation culturelle oblige- il n'y a bien que la haine de l'arbitre qui reste constante.

Bord politiqueA la base, Adrian supportait l'APPEL, un programme qui ne faisait hurler personne, ni trop conservateur, ni trop novateur, c'était parfaitement ce qu'il fallait à ce jeune homme qui faisait de l'évitement des conflits son activité préférée. Bien sûr depuis quelques années tout a été chamboulé pour employer un mot fort, mais approprié. Qui se fiche encore de savoir pour qui on voterait ? La seule vraie question c'est si on affiche la photo officielle de Leopold dans son salon ou directement au dessus de son lit...

Relation au régime MarchebankLa dictature, c'est mal. Cela sonne clairement comme un enfant de trois ans qui apprend ses premiers mots, mais apparemment ça n'est pas quelque chose d'acquis pour tous. L'attachement à la famille est la première des valeurs d'Adrian et il sait très bien que sa famille serait toujours sur les plages espagnoles si dictature il n'y avait pas eu là-bas, ça n'est pas pour venir en supporter une ici. Ceci étant dit le courage n'est pas forcément son point fort et il n'a aucune envie de mettre sa vie -et surtout celle de ses proches- en danger en s'opposant ouvertement au régime en place, ses ancêtres avaient fait le choix de la fuite et si ses contemporains faisaient le même choix il les suivrait avec joie, mais en petit dernier de la famille ça n'est pas à lui de faire ce choix.

Devant le miroir du Risèd, tu vois…Une famille réunifiée et heureuse qui mange sans utiliser les couverts comme projectiles et la vaisselle comme bouclier. Complètement irréaliste ce miroir.

Si tu étais un Animagus tu serais…Un orque.

Ton Patronus est (ou sera)…Un orque.  Adrian Melchior Calder 1837488421  


Description physique

Quelle est la première chose que les autres remarquent chez toi ?Adrian est un jeune homme particulièrement souriant, sourire enjoué, sourire charmeur, sourire narquois, sourire triste, il décline à l'infini et les situations où il est incapable de sourire se comptent sur les doigts d'une main.

Quand tu te regardes dans le miroir, qu’est-ce que tu aimes et que voudrais-tu changer ?Il passe sa main dans ses cheveux et étouffe un juron en remettant la main en question dans ses poches. Il a tendance à essayer d'arranger ses cheveux à chaque fois que ses mains n'ont rien d'autre à faire et cela n'arrange pas sa coupe. Oui, s'il pouvait changer quelque chose il changerait cette fichue habitude. Ca et son nez. Et l'épaisseur de ses jambes, il a l'air ridicule avec des bras de taille correcte et des jambes de fragile comme les siennes. Puis s'il pouvait récupérer des abdos au passage... En fait il faudrait vraiment qu'il fasse du sport. Demain.

Si tu devais choisir entre passer ta vie en salopette et passer ta vie en tailleur/costume, qu'est-ce que tu choisirais ?Costume. Clairement. Ca ne serait peut-être pas pratique pour son travail, mais un costume bien taillé c'est la preuve d'un statut, l'ambitieux qui sommeille en lui préférera toujours une personne bien habillée à un plombier et sa salopette.


Caractère

Si un de tes parents devait te décrire, que dirait t-il ?Sûrement tout plein de compliments. Non ? Soyons honnêtes, Adrian n'est pas le fils parfait, tous comme ses frères, il a eu une scolarité très moyenne au mieux. Là où l’aîné avait décidé de se reposer sur ses capacités naturelles pendant sept ans et son autre frère avait travaillé dur pour des résultats qui étaient restés moyens, Adrian se trouvait parfaitement au milieu. Pas spécialement doué en grand chose il avait décidé de se concentrer sur les quelques matières qui lui réussissaient et le reste allait du passable au catastrophique.

Oui, Adrian avait gâché une bonne partie de son potentiel et ses parents n'étaient pas particulièrement heureux de cela. Heureusement pour lui, il restait particulièrement adorable à côté du reste de sa fratrie et le seul fait qu'il ne souhaite pas ouvertement la mort de qui que ce soit dans sa famille lui faisait gagner un bon paquet de points aux yeux de ses parents. Un gentil garçon qui devrait se bouger et travailler un jour. Oui. Ils diraient quelque chose de ce goût là.


Risquerais-tu ta vie pour tes idées et/ou pour tes proches ?Mourir pour des idées ? L'idée est excellente, d'accord, mais de mort lente. Adrian n'a aucune idée qui justifierait qu'il prenne le moindre risque pour elle et il entend bien qu'il en reste ainsi.
Pour sa famille c'est une toute autre histoire, bien sûr qu'il mourrait pour eux, le fait même de lui poser la question l'offusque tant il s'agit là de la première des évidances.


Qu’est-ce qui t'horripile le plus dans le comportement des autres ?Ha, qui donc l'horripile ? Beaucoup de gens malheureusement. Adrian a besoin d'être aimé et ce qui l'horripile et bien... c'est quand on ne l'aime pas. Bien sûr il n'admettra jamais ne pas aimer quelqu'un juste pour cette raison, c'est parce qu'ils respirent trop fort, qu'ils portent des lacets ridicules, qu'une fois, en deuxième année il étaient arrivés en retard en cours de métamorphose et QUI FAIT CA ??? Ha. Oui. Pour le coup il n'aime vraiment pas les gens qui arrivent en retard.

Quelle est ta plus grande peur ?Vous avez du temps ? Parce que quitte à parler des peurs d'Adrian autant s'installer confortablement. S'il ne devait vraiment n'en citer qu'une ce serait très probablement une peur idiote de l'abandon. Couper les ponts avec qui que ce soit est quelque chose qu'il n'arrive jamais à faire et l'idée même de le faire avec quelqu'un dont il se sent particulièrement proche suffit à la terroriser.


Relations

Qui est la personne que tu aimes le plus au monde ? Sa grande sœur, Irina. Ses parents sont bien trop... adultes, ses frères passaient leur temps à se chamailler et il lui restait sa sœur avec qui passer du temps. Ajoutez à cela le fait qu'elle soit tout simplement magnifique, gentille, intelligente, douce, drôl... Oui. D'accord. Il l'aime beaucoup, on a compris.

À quel point es-tu proche de ta famille ?Aussi proche que possible. C'est un miracle s'il n'habite plus chez ses parents même s'il faut bien admettre qu'il y passe très fréquemment. Après avoir passé un an et demi à l'étranger -principalement en Amérique du sud- à étudier des plantes en tout genre il se trouve que sa famille lui a manqué et il n'est pas impossible qu'il se retrouve encore plus collant qu'avant son départ.

As-tu des difficultés à te sociabiliser avec les autres ? Adrian a toujours été un garçon sociable, voulant toujours qu'on l'apprécie il n'a jamais rechigné à l'idée de se sociabiliser avec autrui. Prenez Poudlard par exemple, l'entièreté de la population britannique qui se retrouve en internat dans la même école, l'endroit parfait pour nouer des relations et se faire des amis qui pourraient finir riches, puissants ou les deux en même temps. Son père lui-même avait passé toute sa scolarité avec un futur dictateur ! Oui. D'accord. Peut-être que tout ami n'est pas bon à se faire... Mais dans le doute les gens ont plus de chance de finir haut placé que coupable de crimes de guerre.

Accordes-tu facilement ta confiance ?Une fois son amitié acquise, la confiance va avec, il n'est pas particulièrement farouche sur ce point là. La regagner, par contre, c'est une toute autre histoire et probablement une mission impossible si vous ne partagez pas son A.D.N.


Histoire

Raconte-nous une scène marquante de ton enfance2 Septembre 1996.
"Adrian, c'est l'heure, debout."
Un grommellement, suivit d'un bâillement avant le bruit d'un jeune enfant qui sort de son lit avant de débouler des escaliers. La cuisine était bien calme, les chocapics encore cachés dans leur placard, vue assez rare dans la maison Calder. Le cadet avait bien du mal à se réveiller sans pour autant comprendre pourquoi. En règle générale il ne lui fallait que quelques minutes pour être parfaitement opérationnel. Un bruit de porte derrière lui le fit sursauter et il comprit. La maison était silencieuse. Tous les ans, durant la dernière semaine d'août il se surprenait à avoir hâte que ses frères retournent à Poudlard, ils passaient généralement tout l'été à se chamailler -au mieux- et il arrivait un moment où le bonheur de les avoir à la maison ne suffisait plus à contrebalancer le malheur de voir à quel point ils se détestaient. Néanmoins il fallait bien admettre que tous les 2 septembre il regrettait leur départ.

Il tourna la tête vers la personne qui avait causé le bruit de porte et offrit son plus beau sourire, bien qu'encore ensommeillé, à son père. Vingt minutes et toute une préparation savamment organisée, il était prêt à retourner à l'école à son tour et c'est à ce moment seulement qu'il réalisa que quelqu'un d'autre manquait dans le tableau. Certes ça lui avait pris un moment avant qu'il percute, mais il était encore un tout jeune enfant alors vous serez prié de lui pardoner. Sa sœur. Il manquait sa sœur aussi. Il était seul pour la première fois de sa vie. Dès le premier jour d'école il se surprit à avoir hâte que les vacances arrivent, probablement le début de sa légendaire assiduité scolaire.


Quel est le meilleur enseignement que tu aies tiré de ta scolarité et de ta vie en général ?A cœur vaillant rien d'impossible. Non ? Dommage, ça sonnait bien. Sa scolarité lui a appris... l'injustice peut-être, tout le monde n'est pas récompensé de ses efforts, certains essayent toute leur vie et d'autres n'ont qu'à se donner la peine de naître. Ca ne fait pas de lui un anarchiste pour autant, les puissants sont toujours plus intéressants à ses yeux que les autres, mais au moins ne méprise-t-il pas les faibles.

Qu'est-ce que tu te voyais faire, comme métier, quand tu étais petit ? Qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ? Comment expliques-tu l'écart entre les deux ?Ce qu'il voulait faire étant jeune... Question délicate, il ne faisait pas parti des enfants qui avaient grandis en rêvant à leur métier qu'il s'agisse de soigner des gens, de protéger les innocents, d'explorer l'espace ou d'être un dinosaure. Non, le travail n'était clairement pas quelque chose qui le faisait rêver, probablement parce que malgré tout ça il rêvait d'être riche et influent et qu'il savait très bien que ceci s'accompagnait de nombreuses responsabilités et de peu de temps libre. Autant dire qu'il n'a pas vraiment fini avec le métier de ses rêves puisque cultiver de l'asphodèle au plein milieu de nul part n'a que peut de rapport avec l'idée de diriger un département au ministère. Comment expliquer cette différence ? Pour commencer, Adrian aime choisir ses chefs, un vrai sentimental ce garçon, la hiérarchie idiote du ministère ou d'autres grandes entreprises lui donne des nausées et il ne s'y serait probablement jamais fait. La paresse ensuite, dès Poudlard il n'avait pas travaillé assez et reprendre tout son retard maintenant était chose impossible. Enfin, il avait vu les tensions entre ses frères et d'un certain côté il n'avait pas du tout envie de réussir sa vie si c'était pour attirer la jalousie et le ressentiment. Ou alors c'était l'excuse étrange qu'il s'était trouvé.  

Qu'est-ce que tes parents ont fait (ou n'ont pas fait) pour que tu sois aujourd'hui la personne que tu es ?Très sensible aux valeurs familiales il est difficile de trouver quelque chose en lui qui n'ait pas été modulé par ses parents. Son sens moral est presque complètement hérité de son père et toutes les petits écarts qu'il est disposé à y faire viennent de sa mère. Comment en est-il arrivé là ? Son père était strict, comme tous les pères vous dirait Adrian, et le jeune homme était le seul de la fratrie à avoir réellement passé du temps seul avec ses parents ce qui expliquait peut-être qu'il leur ressemble. D'autant que les échecs de ses aînés étaient visibles alors qu'il était encore assez jeune pour être poussé du bon côté de la force. Malheureusement pour son père, il n'avait pas réussi à en faire un grand homme non plus.

Anecdote libreIl avait quinze ans lorsqu’il découvrit l’un des secrets les mieux gardés des Calder. Les vacances d’été venaient de commencer et il profitait tranquillement du soleil gallois assis sur une chaise dans son jardin quand un crac attira son attention, caché derrière la haie, Roy lui faisait signe de s’approcher. Retenant un soupir il s’était exécuté.
« Jason est là ?
- Heu oui, pourq…. »
Son frère l’avait attrapé pour l’attirer de l’autre côté de la haie, à l’abri de la fenêtre de la cuisine, endroit où, de toute façon, Adrian doutait que Jason soit.
« Quand t’ai-je déjà laissé tomber p’tit frère ?
- Hein ?
- Très juste ! Va me chercher un truc dans ma chambre, une boîte, bleue, sous mon lit.
- Heu…
- Tu sais où est mon lit ? »

Adrian leva les yeux au ciel et parti s’exécuter, il n’était pas sûr de vouloir comprendre de toute façon, il avait déjà préparé une excuse au cas où Jason l’interrogerait sur le fait qu’il rentre alors qu’il ne pleuvait pas encore, mais la question ne vint pas, il était trop occupé à regarder la télévision, affalé sur le canapé –Jason, pas la télé-. La chambre était mal rangée, évidemment, il n’aurait fallu qu’un coup de baguette à Roy pour la rendre impeccable, mais il s’y refusait et leur paternel interdisait à qui que ce soit d’autre de le faire, espérant sans doute faire craquer son fils qui de toute façon s’en fichait comme de sa première bavboule. D’un geste du pied il balaya un t-shirt qui traînait là et attrapa la boîte, mais son regard fut attiré par autre chose, jusque-là caché par le t-shirt, la carte d’identité de Roy… Gaspard Calder. Il eut du mal à retenir un fou rire et se contenta de descendre, sans oublier la caisse.

« Hé Jason, c’est quoi ton deuxième prénom ?
- Balthazar, pourquoi ?
- Pour rien. Tu regardes quoi ? »
Il ne prit pas le temps d’attendre la réponse et alla rapidement livrer ce que cette boîte contenait, refusant formellement d’expliquer la raison de son fou rire à son propriétaire.


Que fais-tu si...

Le monde entier apprend que tu dors avec un doudou dragon rose ?QUI A BALANCE ??? Le besoin de retrouver le ou la coupable ne lui laisse pas le temps de s’apitoyer sur son sort et ne lui laisse pas le temps de se rendre compte que toute sa réputation est ruinée. Heureusement pour lui, un autre ragot méprisable arrivera avant qu'il ait le temps de se venger et tout cela sera bien vite oublié.

Tu assistes à une arrestation musclée de la Milice en pleine rue ?Il aimerait pouvoir dire qu'il interviendrait pour défendre la veuve et l'orphelin, mais en réalité qu'est-ce que cela changerait ? Même s'il protégeait cet individu, le régime ne tomberait pas pour autant. Non, la seule chose à laquelle il pourrait s'attendre c'est de devenir fiché et de s'attirer des ennuis. On pourrait bien sûr lui rétorquer que si personne ne fait jamais rien, un jour ce sera son tour et il n'y aura personne pour le défendre. Certes. Mais là tout de suite il est tranquille et c'est pas sûr qu'il soit inquiété un jour, alors autant ne pas signer tout de suite son arrêt de mort.

Ton patron critique violemment ton travail ?C'est bien la meilleure ça. Comment il aurait pu savoir que les mandragores ça aimait pas être trop près des fougères ? Personne n'avait jamais essayé d'abord, c'est bien la meilleure de lui reprocher ça. Alors, oui, il va s'excuser, bien sûr qu'il va s'excuser, c'est pas comme s'il avait le choix de toute façon ? Puis faut bien admettre que ces plants là sont fichus. Mais c'est pas pour autant qu'il se sentira coupable. Responsable, mais pas coupable !

Tu te perds en plein milieu de la Forêt Interdite ?Et m... Pourquoi on peut pas transplaner dans cet endroit de m***** ? C'est vraiment un truc de clowns ça. Bon. Du calme. Allons toujours vers le sud, il y aura bien une sortie quelque part... Normalement. Et sinon, eh bien il sait faire du feu et connait quels champignons il peut manger sans mourir. Prêt pour Koh-Lanta ou, à défaut, survivre trois jours le temps de sortir de cet endroit.

Tu as un Retourneur de Temps entre les mains ?Il a lu assez de science-fiction moldue pour savoir qu'il vaut mieux ne pas toucher à ce genre de chose, c'est une histoire à commencer des paradoxes temporels dans tous les sens. Être responsable de la fin de l'univers, ça fait beaucoup pour lui.


Famille et entourage

Victor Calder -Père

Adrian apprécie beaucoup de choses chez son père, c’est d’ailleurs de lui qu’il tient cet attachement aux valeurs familiales, mais il doit constater un peu plus chaque jour que son père manque cruellement de tact, notamment pour gérer les conflits familiaux.

Elena Calder - Mère
Sa mère est un peu son refuge dans cette famille de fous et pour cause, à part lui c’est celle qui prend le moins partie dans les disputes. Si elle n’était pas là pour calmer le jeu alors  qu’il était à Poudlard, la famille serait probablement endeuillée à l’heure qu’il est.

Roy Calder - Frère
Le rejeté de la famille. D’aucun penseront qu’il s’agit d’un syndrome du bouc émissaire. A vrai dire il n’est pas à nier que Roy l’a bien cherché, à toujours vouloir se mettre en avant et écraser les autres… même pour les Calder ce type a un ego surdimensionné, c’est dire. Malgré tout Adrian fait avec et il n’a pas à se plaindre de ses relations avec son aîné, même s’il aimerait qu’il l’écoute un peu plus au lieu de toujours tout faire pour s'attirer des ennuis qui ont en plus la fâcheuse idée de retomber sur le reste de la famille.

Jason Calder - Frère
Quand on lui demande qui est l’ainé de sa fratrie, Adrian a tendance à citer Jason… avant de se reprendre. A bien des égards, Jason est plus mature que Roy, sauf quand ce dernier se trouve dans la pièce. Rabibocher ses frères est l’objectif ultime d’Adrian, mais cela semble peine perdue.

Irina Calder - Soeur
Quand il dit « ma sœur », c’est « SA » sœur. Bien qu’il ait trois frères et sœurs, c’est principalement d’elle dont il était proche, alors que ses frères se battaient. Cela a eu tendance à le rendre… légèrement possessif.


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That's what you do, innit? You protect your family.
Roy Calder
Roy CalderPropriétaire d'un haras
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Profil Académie Waverly
Adrian Melchior Calder Icon_minitimeVen 1 Mai 2020 - 10:02
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Roy Calder

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