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Leonard Alfred Wellington

Leonard Wellington
Leonard WellingtonLieutenant de la milice
Messages : 170
Profil Académie Waverly
Leonard Alfred Wellington Icon_minitimeJeu 30 Avr 2020 - 5:31
Leonard Alfred Wellington

L'espoir ne fait pas vivre

Age25 ans

Date de naissance27 mai 1985

Lieu de résidenceLeonard a d’abord vécu à Godric's Hollow, célèbre village sorcier où la famille Wellington détient une coquette résidence, héritée de père en fils. Il a quitté le nid familial pour s’installer dans un appartement à Leopoldgrad avec Eiluned. Depuis qu’ils ont rompu, Leonard squatte l’appartement de son grand frère à Leopoldgrad également et ce qui devait être temporaire est devenue une espèce de colocation improvisée, qui fait parfois râler Ulysse.

BaguetteBois de noyer, 29 centimètres, souple, avec une plume de phénix.

Animal de compagnieLeonard est très attaché à son chat qui commence à se faire vieux puisqu’il l’a eu chaton quand il est entré à Poudlard. D’ailleurs son grand âge se voit dans sa façon de squatter douze heures par jour le coin de canapé qui lui est dédié et de s’asseoir sans préavis sur l’humain qui ose lui voler cette place. Cela amuse souvent les gens de savoir qu’il s’appelle Vivet, en hommage au petit oiseau preste qui a inspiré le Vif d’Or, alors qu’en vérité, c’est surtout un gros tas aux poils blonds.

AvatarCole Sprouse

AutreDC de Royounette


Curriculum Vitae

MétierLieutenant à l’agence de renseignements de la Milice

Maison / Ancienne MaisonDécelant chez Leonard une curiosité intellectuelle presque maladive, le Choixpeau n’a pas hésité à l’envoyer chez les Serdaigle.

Matières suiviesIl a obtenu haut la main ses ASPICS dans les matières requises pour suivre les trois ans de formation afin d’intégrer la Brigade Scientifique et Magique. Après trois ans de service dans ce corps d’experts, Leonard a décidé d’intégrer la Milice début 2009, peu après la guerre des gangs de Bristol.

Vie associative / hobbiesLeonard joue du piano depuis qu’il sait bouger ses dix doigts ou presque. Doté d’une véritable fibre artistique, il n’affectionne pas seulement la musique mais aussi tout ce qui consiste à fabriquer des choses. Il aime détourner des objets de leur usage initial et se passionne pour la programmation, ce qui fait de lui une espèce de petit hacker bricoleur dont les talents sont fort utiles à la Milice. Il a par exemple totalement personnalisé son Pear One pour lui rajouter des fonctionnalités. Parfois c’est pour son travail, parfois c’est juste pour s’amuser car Leonard est assez farceur. On citera le jour où il a codé une application qui transforme la voix de la personne qui appelle, ce qui a beaucoup fait rire ses collègues : une application totalement inutile, mais c’est assez drôle d’avoir l’impression que Danielle Coleman a inhalé de l’hélium quand elle vous contacte pour vous donner des ordres.

Bord politiqueLeonard est en faveur de l’ouverture du monde magique vers les savoirs-faire moldus, il pense que la médecine et la police scientifique des deux mondes, notamment, auraient beaucoup de choses à partager. C’est surtout cet aspect qui l’a séduit dans le programme du FREE.

Relation au régime MarchebankLeonard a intégré la Milice pour des motifs parfaitement personnels mais il a bien révisé sa copie sur le gouvernement et saura en dire tout le bien qu’il faut. Il n’est pas aveugle face au caractère très autoritaire de cette politique et peut-être que dans d’autres circonstances, il ne l’aurait pas approuvée, mais en l’occurrence, la politique Marchebank sert parfaitement des desseins qui lui sont personnels alors il ne bronche pas et y offre tout son soutien. Il n’y a pas plus farouche traqueur de terroriste et de mafieux que lui et c’est ce qui lui a valu sa place dans l’agence de renseignements de la Milice.

Devant le miroir du Risèd, tu vois…Il se voit simplement entouré de ses proches, en bonne santé.

Si tu étais un Animagus tu serais…Le loup, pour son intelligence aiguisée, intuitive, sa férocité et son attachement à sa meute.

Ton Patronus est (ou sera)…Une chouette, un autre animal clairvoyant et intuitif, annonçant traditionnellement la mort.


Description physique

Quelle est la première chose que les autres remarquent chez toi ?On remarque probablement les cernes qu’il a sous les yeux et ses multiples tics, comme cette façon qu’il a de changer toutes les deux minutes de position sur sa chaise ou de faire tourner sa plume entre ses mains en frappant nerveusement du pied par terre.

Quand tu te regardes dans le miroir, qu’est-ce que tu aimes et que voudrais-tu changer ?Leonard n’a pas de gros complexes vis à vis de son apparence physique, il se reconnaît même quelques atouts comme ses yeux verts, ses traits fins, ses boucles brunes souples. Un regret peut-être du côté de sa carrure, qu’il aimerait plus impressionnante pour être pris plus au sérieux. Il est jeune, pour un lieutenant, il le sait, alors il aurait aimé avoir de larges épaules et un visage carré pour compenser, mais il a hérité au contraire d’une silhouette filiforme et d’un teint pâle comme les cadavres qu’il disséquait à une époque. Mais au fond, ce ne sont que des détails. La seule chose que Leonard aimerait vraiment changer chez lui, c’est sa constitution fragile qui lui cause plusieurs soucis de santé.

Si tu devais choisir entre passer ta vie en salopette et passer ta vie en tailleur/costume, qu'est-ce que tu choisirais ?Leonard préfère les tenues où il peut se mouvoir facilement alors il choisirait sans hésiter la salopette.


Caractère

Si un de tes parents devait te décrire, que dirait t-il ?Scarlett, sa mère, est la plus bavarde au sujet de ses enfants. Elle dirait affectueusement que Leonard est son petit génie. Elle peut passer de longues minutes à vous expliquer ce trouble scientifiquement appelé « déficit d’inhibition latente » pour lequel son fils a été diagnostiqué dans son enfance. En des termes plus barbares, le cerveau de Leonard est constitué de sorte qu’il n’opère pas naturellement le tri entre tous les stimuli qu’il reçoit, ce qui lui permet de prêter de l’attention à beaucoup plus de détails que la plupart des gens. Scarlett vous dira que les personnes avec un QI élevé, ce qui est le cas de son fils, peuvent traiter efficacement ce flux anormal d’informations et en générer une grande créativité.

Mais ce qui crée une forme de fierté chez sa mère est surtout la source de plusieurs troubles chez Leonard, un cadeau empoisonné, en somme. Puisqu'il ne bénéficie pas de cette naturelle et salvatrice sélection mentale d'informations, il lui est difficile d'ignorer des bruits persistants, par exemple, ou de se concentrer sur les aspects importants. Le fait d’être incapable de presser le bouton pause sur son cerveau le rend sujet à des migraines parfois paralysantes, des brusques coups de fatigue et un niveau de stress conséquent. Il a constamment besoin d’être en activité pour évacuer le flux d’idées qui l’agitent ce qui fait dire à son père Randall que c’est un petit génie, oui, mais un petit génie très agité et pas très raisonnable. Plutôt que de prendre le temps de soupeser ses réflexions et de bâtir des plans solides, Leonard va chercher à tester immédiatement ses intuitions et en voir les effets, avant de juger s’il faut se rétracter ou non, une méthode qui fait ses preuves mais qui ne plaît pas à tout le monde.

Il a par ailleurs du mal à fixer sa concentration et a tendance à sauter d’une idée à l’autre quand il parle, sans apparent fil conducteur. Il se laisse également souvent influencer par ses émotions qu’il ressent très fortement et par celles de son entourage qu’il absorbe comme une éponge. Il n’est pas rare de le voir brusquement changer d’avis ou alors exploser de colère et on ne sait jamais vraiment si c’est contre lui-même ou contre les autres. Il est rarement mesuré, plutôt excessif dans tout, une attitude qui peut aussi bien le mener à de grands succès que de grosses bavures.


Risquerais-tu ta vie pour tes idées et/ou pour tes proches ?Parce qu’il est particulièrement sensible aux réactions des autres et qu’il parvint à lire entre les lignes, Leonard a un peu trop tendance à se mettre à leur place et peut par conséquent vite se sentir responsable d’eux. Cela lui fait développer une fâcheuse tendance à prendre des décisions à la place des autres et les surprotéger. Il n’a jamais été placé dans une situation où il doit mettre en péril sa vie mais sans doute que si ses proches étaient en danger, il serait capable de risquer sa vie pour eux, sous le coup d’une impulsion.

Qu’est-ce qui t'horripile le plus dans le comportement des autres ?Leonard est assez tolérant avec les défauts des gens. Il a tendance à penser que les comportements sont motivés par tout un tas de raisons et de phénomènes explicables, ce qui peut donner l’impression qu’il trouve vite des excuses aux autres et qu’il ne marque pas franchement la limite entre le bien et le mal. L’humain est à ses yeux une machine complexe qui le fascine et qu’il peut passer beaucoup de temps à analyser. Une des choses qui le stimule le plus dans ses enquêtes est d’ailleurs d’essayer de comprendre le fonctionnement des victimes et des potentiels coupables, comprendre comment ils en sont arrivés là, ce qu’il fait assez brillamment. Dans son travail d’espion, c’est cette empathie naturelle chez lui qui lui permet de facilement se glisser dans la peau des personnes qu’il traque.
Mais s’il devait citer des types de personnalité dont il se sent le moins proche, ce serait probablement les gens paresseux, qui ne rêvent de rien dans leur vie et qui se laissent passivement porter par les événements, elles lui inspirent un profond ennui.


Quelle est ta plus grande peur ?Leonard est terrifié par l’idée de perdre le contrôle de son corps, ce qui peut se manifester par de violentes angoisses. Il tente de les gérer deux façons : une méthode à peu près saine qui consiste à s’occuper le plus possible l’esprit en s’investissant dans des projets pour lui permettre de ne pas trop y penser, même si la sur-activité de son cerveau est difficilement contrôlable. Sa méthode beaucoup moins saine est qu’il a tendance à repousser les limites de son corps pour se prouver qu’il le maîtrise, en se surmenant au travail, notamment. Personne ne serait étonné de le voir faire un burn-out un jour.


Relations

Qui est la personne que tu aimes le plus au monde ? Au sein de sa famille, Leonard avait un lien particulièrement fort avec sa petite soeur, Octavia, avec qui il partageait de nombreux points communs. Il a de merveilleux souvenirs de son enfance avec elle et a toujours apprécié cette façon qu’elle avait de faire ressortir le meilleur chez les autres. Sa disparition brutale a créé un vide chez lui qu’il pense ne jamais pouvoir combler.
En dehors de son cercle familial, il y a une fille qui a compté plus que tout pour lui, qui a été sa meilleure amie, et sans doute l’amour de sa vie, mais dont il a dû se séparer. Cette décision est venue de lui parce qu’elle lui semblait la meilleure chose à faire pour leur épargner de grandes souffrances. Pour autant, ses sentiments n’ont pas disparu, Eiluned est toujours extrêmement importante pour lui, même s’il a fait en sorte de couper contact le plus possible, ce qui s’avère être une véritable partie de jonglage quand on sait comme leurs deux familles sont proches. Pour être honnête, il a du mal à se tenir complètement à cette résolution et ne peut s’empêcher de jeter un oeil parfois sur ce qu’elle montre de sa vie, via les réseaux sociaux ou leurs connaissances communes.


À quel point es-tu proche de ta famille ?Complice avec ses deux frères, Octavia était l’élément fédérateur de leur fratrie. La relation entre Leonard et Ulysse est en effet un peu plus conflictuelle et tissée de jalousie réciproque. Malgré tout, ils sont tous les deux assez proches car les parents Wellington font en sorte de maintenir les liens à coups de traditions partagées et grands déjeuners de famille. En grandissant, ils ont tous les deux appris à compter l’un sur l’autre, surtout depuis que leur soeur n’est plus là.

As-tu des difficultés à te sociabiliser avec les autres ? Aucune, Leonard a toujours été un garçon bavard et attentif aux autres, ce qui lui a permis de se faire facilement des amitiés durables. Il se fait assez vite remarquer, avec ses traits d’esprit et son goût prononcé pour les vannes qui font de lui un bon compagnon de soirée.

Accordes-tu facilement ta confiance ?Leonard se fit beaucoup à son intuition, au quotidien. Il prend bien plus souvent ses décisions poussé par un instinct, en fonction de ce que ses sens ont perçu de ses interlocuteurs et de la situation dans laquelle il est, plutôt que sous le coup d’un long raisonnement logique et étayé d’arguments. Aussi, il est tout autant susceptible d’accorder sa confiance que de s’y refuser, tout dépend de la manière dont son interlocuteur se comporte et de ce que son instinct lui souffle.


Histoire

Raconte-nous une scène marquante de ton enfance« Attentioooon ! »

Le cri de Leonard retentit dans le jardin, espérant protéger la fusée en kit qu’il construisait des tirs de ballon aveugles et dangereux de son frère. Mais Ulysse n’en eut cure, continuant de balancer sa balle contre le mur de clôture, sans se soucier de ses rebonds. Ce bruit répété, incessant, qui se répercutait dans la boîte crânienne de son petit frère finit par lui taper sur le système, si bien qu’il bondit sur ses petites jambes et donna lui-même un coup de pied dans sa fusée, de colère.

« Mais arrête avec ta balle !
-Quoi ? C’est pas moi qui ai cassé ton jouet, j’ai rien fait !!
-Si, c’est ta faute, tu m’déconcentres !
-Mais t’as qu’à aller faire ta fusée ailleurs, y a plein de place dans la maison !
-J’étais là avant toi !
-Bah ouais mais moi je peux pas jouer au ballon dans la maison, maman va me crier dessus !
-Bah t’as qu’à jouer à autre chose !
-Et si j’ai pas envie ?? »

Le crêpage de chignon qui aurait pu durer encore des heures entre les deux frères se conclut grâce à l’intervention d’une petite fille haute comme trois pommes qui leur lança dessus le ballon qui s’était égaré sur l’herbe. Il atterrit pile sur le nez d’Ulysse et ce dernier en perdit l’équilibre. Outré, il s’exclama à l’adresse d’Octavia :

« Mais Vivi, tu m’as fait mal ! 
-Eh bah c’est bien fait, vous z’êtes trop nuls à vous disputer tout le temps ! Moi j’venais vous chercher pour jouer mais j’crois j’vais aller jouer toute seule avec la voisine, d’abord.
-La voisine ?
-Oui c’est des nouveaux gens ! s’exclama Octavia en retrouvant son grand sourire, oubliant tout ce qui venait de se passer. C’est la maison d’en face, maman est partie leur dire coucou et bienvenue. J’pensais que le gâteau au chocolat c’était pour le goûter de tout à l’heure et en fait, eh bah c’était pour eux. Alors j’suis allée avec elle pour voir. Et y a plein d’enfants ! Enfin ils sont un peu grands mais euh, y a une petite fille et j’ai parlé avec elle. Elle s’appelle. Euh. Aïninette ! Non. Aïledede. Un truc comme ça… Je sais p’u, avoua t-elle, penaude. Mais elle a plein de jouets !! Vous venez ? »

Parce qu’à six ans, on ne disait jamais non à la perspective de s’amuser avec de nouveaux jouets et de nouvelles personnes, Leonard suivit sans broncher sa petite soeur qui les guidait vers une autre petite fille qui allait très vite devenir sa meilleure amie.


Quel est le meilleur enseignement que tu aies tiré de ta scolarité et de ta vie en général ?L’humilité. Plusieurs coups durs dans sa vie ont enseigné à Leonard qu’il était loin de pouvoir tout savoir et tout maîtriser comme il s’en est longtemps cru capable.

Qu'est-ce que tu te voyais faire, comme métier, quand tu étais petit ? Qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ? Comment expliques-tu l'écart entre les deux ?Leonard aurait aimé faire mille métiers dans sa vie, il a donc souvent changé d’avis, mais c’était toujours des rêves empreints d’une certaine ambition qui aurait pu lui valoir une place chez les Serpentard. Il s’est imaginé ingénieur, pianiste, journaliste, auteur de romans… Beaucoup de ses proches pensaient qu’il se serait plutôt orienté vers une carrière qui laisse place à son imagination débordante, mais ils n’ont pas forcément été surpris de le voir prendre le chemin de l’Académie de Police. En effet, les centres d’intérêts de Leonard sont nombreux et il ne les cache pas. Il s’est découvert une passion pour le travail de la Brigade Scientifique et Magique quand lui et sa promotion de cinquième année à Poudlard ont effectué une visite de chaque Département du Ministère, pour les aider à s’orienter après leurs BUSES. Il se souvient encore d’une certaine Doreen Rice qui leur expliquait avec ferveur l’adrénaline et les frissons procurés par la découverte d’indices pour résoudre des mystères irrésolus. Son discours ne pouvait que trouver un écho favorable chez un garçon compétiteur et avide de défis tel que Leonard.

Qu'est-ce que tes parents ont fait (ou n'ont pas fait) pour que tu sois aujourd'hui la personne que tu es ?Issus d’une éducation plutôt bourgeoise, les parents Wellington ont toujours vivement encouragé leurs enfants à faire des études et a acquérir une bonne place dans la société. Ils n’ont pas lésiné sur les moyens de faire développer des talents chez leurs enfants et une chose est sûre, chacun a pu trouver le domaine où il était bon. C’est grâce à eux que Leonard est aussi curieux de tout, manuel et inspiré.
S’il y a une chose qu’il remet en revanche en question dans l’éducation qu’il a reçu de ses parents, c’est leur goût pour les apparences. Vite ennuyé par les mondanités et les discours consensuels, Leonard aime au contraire explorer les dessous cachés et découvrir les vrais visages des gens. Il peut faire preuve d’un certain esprit de contradiction ou se faire l’avocat du diable, juste pour pousser ses interlocuteurs à aller au bout de leurs pensées.


Anecdote libreJanvier 2011, Sainte-Mangouste
« Je suis désolé, monsieur Wellington. »

Le monde semblait s’écrouler sous les pieds de Leonard qui était pourtant immobile, assis sur son siège, face à son neuromage. Il ne comprenait pas. Ce ne pouvait qu’être un malentendu. Il était venu à cause de troubles de sa vision, en pensant que ce n’était que la conséquence de ses habituels maux de tête. Il s’imaginait ressortir avec une ordonnance pour ses potions antalgiques qu’il prenait quand ses migraines devenaient trop fortes. A la place, il avait eu des prescriptions pour toute une batterie de tests qui avaient éveillé sa méfiance, mais il avait refusé de croire à ce que le médicomage lui annonçait aujourd’hui. Pourtant, quand le diagnostic sortit de sa bouche, ce fut comme s’il s’était attendu à l’entendre et il avait vite compris tout venait cette impression. C’était un mauvais pressentiment du fond de ses tripes qui se réalisait. Des milliers de questions envahirent instantanément l’esprit du jeune homme mais une seule lui sembla véritablement essentielle :

« J’ai combien de temps devant moi ? 
-Il est difficile de vous donner un pronostic fiable dès maintenant, tout dépend de comment la tumeur évolue et comment vous réagissez aux traitements. Les tumeurs au cerveau sont assez difficiles à traiter. Vous avez contracté une forme particulièrement agressive qui ne nous laisse pas beaucoup d’espoir…
-Vous pouvez me faire gagner combien de temps au maximum ? » répéta Leonard avec insistance, désireux d’avoir une réponse claire.

Le médecin soupira légèrement, conscient qu’il n’allait pouvoir éluder cette question. Il prit un bref temps de réflexion, parcourant une dernière fois les imageries médicales du cerveau de son patient, sous ses yeux. Le couperet tomba, scellant définitivement l’avenir de Leonard :

« Trois ans, tout au plus. »


Que fais-tu si...

Le monde entier apprend que tu dors avec un doudou dragon rose ?Et alors ? Est-ce que tu sais ce que représente ce doudou pour lui, Jean Kevin, avant de critiquer ? Retourne chez ta maman, avant qu’il ne trouve sur toi un dossier dix fois pire pour t’humilier et fais gaffe parce que la base de données de la Milice est très grande.

Tu assistes à une arrestation musclée de la Milice en pleine rue ?Leonard fait partie de la Milice, mais pas du corps d’intervention. Même s'il a été formé à interpeler des criminels, il préfère laisser la main à ses collègues qui en ont plus l'habitude. Il se tiendrait à une raisonnable distance, prêt à venir en renfort s’il le faut.

Ton patron critique violemment ton travail ?Ce serait un événement marquant et plutôt traumatisant pour Leonard qui vit assez mal l’échec. Il a un parcours couronné de succès, de nombreuses attentes qui pèsent lourdement sur lui et qu’il vivrait assez mal de décevoir. Sur le coup, il réagirait probablement assez mal, d’ailleurs, en tentant de se défendre plutôt que d’accepter les critiques.


Tu te perds en plein milieu de la Forêt Interdite ?Leonard commencerait par pester contre tout ce qui l’a conduit dans une situation pareille, pour libérer l’inquiétude que ça lui inspire. Il serait incapable de retenir ses pensées de totalement s’emballer vers les issues les plus funestes, comme il sait si bien le faire, histoire de bien faire monter son angoisse. Puis, éventuellement, il finirait par se ressaisir et compter sur son sens de la débrouillardise et de la déduction pour le guider vers la sortie.

Tu as un Retourneur de Temps entre les mains ?Son regret sur son passé est de ne pas en avoir assez profité alors il irait revivre ses meilleurs souvenirs pour les apprécier à leur juste valeur.


Famille et entourage
Randall Wellington - Père
Juge au Magenmagot, Randall est à l’image de ce que son métier attend de lui : une droiture irréprochable, une patience remarquable et une perspicacité redoutable. Il possède ce genre de regard pénétrant face auquel on ne se sent pas tout à fait à l’aise mais ceux qui le connaissent bien savent qu’il n’est pas méchant. Quand il était petit, Leonard le trouvait assez impressionnant et n’osait pas le contrarier. En grandissant, il s’est bâti ses opinions et son indépendance, mais une part de lui reste attentive à rester la fierté de son papa.

Scarlett Wellington, née Putnam - Mère
S’il y a quelque chose que Leonard a tiré de sa mère, c’est sa personnalité émotive. Chez Scarlett, cela prend des tournures presque théâtrales, car elle adore se faire remarquer. Elle vit énormément dans le regard des autres et cherche toujours de l’attention. Une façon de combler ce besoin se traduit dans cette passion qu’elle a pour organiser des fêtes et des grands rassemblements, dont elle a d’ailleurs fait son métier. Très sociable, elle s’entoure de nombreux amis auprès de qui elle ne manque jamais l’occasion de se vanter de ses enfants qui sont sa fierté, quitte à enjoliver parfois un peu les choses. Mais depuis le décès brutal de son unique petite fille, l’étoile Scarlett a cessé de briller de mille feux. Quant à l’annonce du cancer de son fils, c’est l’ultime coup dur. Le fait qu’elle sache Leonard condamné à une mort proche est une situation qu’elle supporte très difficilement et elle fait peser sans le savoir une lourde culpabilité sur les épaules de son fils.

Ulysse Wellington - Frère
Ulysse, affectueusement surnommé Lulu, a 27 ans. Il a fait sa scolarité à Gryffondor comme un élève plutôt moyen, pas très travailleur mais très débrouillard. Il se reposait largement sur ses capacités pour s’en sortir et ça fonctionnait à peu près. C’est un homme assez simple à vivre, qui ne s’embarrasse pas trop de questionnements : il fonce. Mais au fond, il cherche un peu l’approbation des autres, de ses parents notamment, qu’il n’a pas envie de décevoir. Il a un amour pour la gastronomie depuis plusieurs années. Avec son meilleur ami Melvyn, ils ont lancé un « fast good » à Leopoldgrad. C’est un restaurant qui sert de la bonne nourriture sous forme « fast food », avec de bons produits locaux, savoureux, de saison. Leonard lui envie beaucoup son optimisme et cette capacité qu’il a à rendre les choses simples. Quant à Ulysse, il jalouse son jeune frère pour l’attention qu’il concentre avec son parcours auréolé de réussite.

Octavia Wellington - Soeur
Octavia aurait fêté ses 24 ans cette année si la mort ne l’avait pas injustement fauchée comme une victime collatérale dans un conflit entre mafieux qui ne la concernait aucunement. Personne n’était préparé à voir partir aussitôt cette jeune étudiante à l’Académie des Arts Magiques de Bristol, appréciée de tous et dévouée à sa passion pour la peinture. Son décès brutal a laissé beaucoup de traces chez les membres de sa famille, à commencer par Leonard. Le fait de ne pas connaître l’identité de son tueur l’empêche de faire son deuil. C’est dans les rangs de la Milice qu’il espère trouver la réponse à cette question. Puisqu’il ne lui reste que peu de temps à vivre, il s’est fait une promesse très solennelle : celle de passer ses derniers jours à traquer cet assassin et obtenir vengeance.


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Danielle Coleman
Danielle ColemanChef de la milice
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Leonard Alfred Wellington Icon_minitimeJeu 30 Avr 2020 - 12:27
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