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Joséphine Chevalier

Joséphine Walker
Joséphine WalkerProfesseur de danse
Messages : 310
Profil Académie Waverly
Joséphine Chevalier Icon_minitimeMar 3 Jan 2017 - 22:55
Joséphine Chevalier

"Cause we are living in a material world /And I am a material girl"


Age32 ans
Date de naissance12 juin 1977
Lieu de résidence Léopolgrad

BaguetteTilleul argenté, 28 cm, solide mais incroyablement légère, cheveux de vélane.

Animal de compagnieAucun ! C'est beaucoup trop de responsabilités !

AvatarIsla Fisher

AutreJoséphine est née avec le don de voyance, qui ne se manifeste que rarement et qu'elle ne maitrise pas.

Curriculum Vitae

Métier / Année d'étudeDanseuse aux folies sorcières
Maison / Ancienne Maison Ancienne étudiante de Beauxbâtons

Matières suivies Divination, Astronomie, Sortilège, Métamorphose, et Potions

Vie associative / hobbies Joséphine fréquente régulièrement le club K&K pour éliminer les trop nombreux cupcakes du paradis d'Eden qu'elle avale le week-end.

Bord politiquePlutôt pro-FREE, Joséphine est tout à fait conquise par le personnage de Léopold Marchebank, et par sa fortune qui la fait rêver. Elle estime qu'il fallait quelqu'un avec l'audace et la force de prendre des décisions sans se préoccuper de contenter tout le monde, et qu'il saura diriger le pays avec suffisamment de poigne.

Relation au régime MarchebankCollaboratrice passive, qui n'hésiterait pas à rendre quelques services au gouvernement si on le lui demandait, moyennant salaire...


Description physique
Joséphine est une jeune femme haute en couleurs, au sens propre du terme. Il est difficile de ne pas la remarquer avec ses cheveux roux flamboyant, ses lèvres maquillées de rose fushia, ses tenues colorées et ses gros bijoux clinquants.

Elle a tendance à attirer le regard. Si elle n’éveille pas le désir ou l’envie chez tous ceux qui pose les yeux sur elle –ce qu’elle regrette- elle a au moins le mérite d’attirer l’attention. Plus que par son physique c’est plutôt par son attitude si assurée, si assumée. Séductrice jusqu’au bout des ongles, Joséphine ne donne pas vraiment dans le numéro de la jeune fille timide ou de la beauté qui s’ignore, ça non. Elle aime se montrer, elle aime qu’on la regarde, et elle occupe toujours tout l’espace, avec une odeur de parfum sucré et des éclats de rire bruyants.

Son visage aux traits doux et arrondis lui donne des airs d’enfants, tout comme ses grands yeux noisette, rieurs et très expressifs. Elle a un sourire immense et communicatif qu’elle sait aussi rendre mutin et presque insolent. Elle déteste ses joues qu’elle trouve trop remplies et se plaint souvent de ressembler à un hamster mais s’en accommode en les maquillant du mieux qu’elle peut. Trop gourmande pour être maigre, Joséphine s'efforce toutefois de conserver une silhouette fine. Sans être trop généreuses, elle a des formes pulpeuses qu'elle sait très bien mettre en valeur.

Plutôt petite, elle compense son mètre soixante par des talons très hauts et de grands gestes. Une posture toujours droite, la tête haute, le menton redressé, elle aurait des attitudes presque princières. Elle est toujours parfaitement apprêtée et n’envisagerait même pas de mettre un pied en dehors de chez elle sans maquillage. Elle voue une véritable passion au vernis à ongle et en change tous les jours, sans jamais l’assortir à sa tenue –c’est sa touche de fantaisie quotidienne.

Joséphine aime la mode, et aime surtout ne pas la suivre. Elle aime associés des motifs et des couleurs improbables, mixer les imprimés et les textures, et changer de style du jour au lendemain. Elle raffole de tout ce qui brille et aime les gros bijoux, particulièrement les boucles d’oreilles dont elle possède des dizaines de paires.




Caractère
Joséphine est un mélange explosif entre une petite fille et une femme fatale. Elle allie l’insouciance d’une enfant à l’assurance d’une séductrice chevronnée.

A 32 ans elle arrive encore à s’émerveiller de tout et à profiter de tous les petits plaisirs de la vie. De nature enthousiaste, il suffit d’un rien pour égayer sa journée et coller un immense sourire sur son visage. Boire un chocolat chaud, prendre un bain plein de mousse, acheter une nouvelle paire de chaussures ou boire un cocktail avec une copine, il y a tant de façons de se rendre la vie agréable ! Sa joie de vivre, Joséphine aime la partager, voire l’imposer. Elles ne supportent pas les gens qui font la tête, passent leur temps à râler ou à se plaindre et voir tout en noir. Elle essaie toujours de remonter le moral de ceux qui l’entourent et de transmettre sa bonne humeur, avec plus ou moins de succès.

Josie aime rire autant qu’elle aime faire rire, souvent à ses dépens. Elle a beaucoup d’humour et d’autodérision et est très bon public. Véritable boute-en-train, on ne peut pas dire d’elle qu’elle soit quelqu’un de très discret. Elle rit trop fort et parle beaucoup trop. Elle a toujours été une grande bavarde, c’est plus fort qu’elle, elle ne peut pas s’en empêcher. Elle est d’ailleurs incapable de garder un secret, sauf si c’est dans son intérêt, c’est une vraie commère !  Partager des potins fait partie de ces petits plaisirs de la vie dont elle aurait tort de se priver !

La vérité, c’est que Joséphine fuit le silence autant qu’elle fuit la solitude. Il n’y a rien qu’elle déteste plus que de se retrouver seule avec ses pensées, pour cette raison elle écoute toujours de la musique, un peu trop fort d’après son voisin. Et si elle n’a personne avec qui discuté, elle n’a aucun problème à parler toute seule ou à se confier à Albert, son cactus et seul compagnon de vie. Il n’a pas beaucoup de répondant mais il sait vraiment écouter !

Josie n’est pas quelqu’un de particulièrement patient et elle s’agace vite. Elle peut vite devenir insupportable quand elle est contrariée, et faire preuve d’une mauvaise foi à toute épreuve. Elle déteste reconnaitre qu’elle a tort, et peu sont ceux ayant pu assister à un tel miracle. Heureusement, elle est incapable de bouder trop longtemps car cela impliquerait de garder le silence pendant plusieurs minutes d’affilé, ce dont elle est incapable. Si elle peut rapidement s’énerver et avoir des paroles un peu mesquine, elle n’est absolument pas rancunière et n’a pas de mal à pardonner.

Il faut dire que la jeune femme se débrouille généralement plutôt bien pour obtenir rapidement ce qu’elle veut. Passée maitre dans l’art de la séduction, Joséphine sait définitivement comment jouer de ses charmes. Ses grands yeux vous hypnotisent et vous observent comme s’ils pouvaient voir en vous, ce qui n’est pas loin de la vérité. Ajouter à cela un savant petit mordillement de la lèvre inférieur et une bretelle qui glisse malencontreusement sur une épaule frissonnante, et le piège s’est déjà refermé sur vous.  La jeune femme est aidée par une la facilité avec laquelle elle devine les désirs et attentes de ces interlocuteurs, ce qui fait d’elle une compagnie très agréable en général. Joséphine n’a aucun scrupule à user de son charme pour obtenir quelques services et a pour principe de ne jamais payer un verre dans un bar. Elle ne voit pas ce qu’il y a de mal à un échange de bons procédés !

Paresseuse, et habituée à la facilité, Josie n’est pas une travailleuse. Elle ne sait pas s’investir dans un projet et faire des sacrifices pour le mener à bout, elle n’a jamais eu le goût du challenge. Dès que les choses deviennent trop difficiles, elle préfère abandonner et tourner la page. Elle a terriblement peur de l’échec et préfère ne pas essayer du tout plutôt que de prendre le risque de ne pas réussir, c’est ce qui l’empêche d’exploiter davantage son don de divination. Spécialiste de la technique de l’autruche, Joséphine a tendance à fuir les problèmes plutôt qu’à les affronter, et ce dans tous les aspects de sa vie. Dès lors que ses relations, qu’elles soient amicales ou amoureuses, deviennent un tant soit peu conflictuelles ou lui demandent trop d’efforts, elle tourne la page. Elle a une certaine facilité à tirer le rideau sur des pans entiers de sa vie, sans scrupule. Elle a cette capacité de poursuivre sa route sans se retourner qui  la rendrait un peu égoïste. Si les autres deviennent des fardeaux, elle préfère les laisser derrière plutôt que de les trainer comme des boulets, en se persuadant que c’est pour leur bien autant que pour le sien.

Pour cette raison, elle a du mal à véritablement s’attacher aux autres. Elle n’a aucun problème à faire des rencontres, à entretenir des relations amicales avec beaucoup de monde, mais elle garde rarement ses amis ou ses amants sur le long terme, elle a du mal à s’investir dans ses relations et à faire les efforts nécessaires pour garder le contact.

Si on lui demandait son plus gros défaut Joséphine occulterait certainement son côté un peu égocentrique, son manque d’aptitude pour ranger ou s’organiser et son penchant prononcé pour les cheesecake citron-framboise, et répondrait qu’elle est un peu trop dépensière. Un peu étant un énorme euphémisme. La jeune femme redoute ses rendez-vous avec son banquier plus que ses rendez-vous chez le dentiste (et maintenant que les banques s'effondrent ça ne va pas s'arranger !) et adopte avec ses factures la même technique qu’avec tous les autres problèmes qu’elle rencontre : l’ignorance. Elle a plusieurs factures en retard, son propriétaire menace régulièrement de la jeter dehors, mais dès qu’elle touche un gros pourboire, elle court le dépenser en chaussures, vêtements et autres accessoires. Elle est persuadée qu’elle est atteinte d’une véritable maladie, d’une fièvre acheteuse ou d’une shoppingïte aiguë, mais personne ne semble la prendre au sérieux.


Histoire
Joséphine est née avec une baguette en argent dans la main. Elle est la deuxième fille de François Chevalier, qui possédait l’une des plus grosses fortunes de la société magique française. Son grand-père a fait fortune en menant une carrière brillante à la SMG (la Société Magique Générale), la banque des sorciers français. Son père a repris le flambeau et fait prospérer la fortune familiale grâce à d’habiles placements en bourse. Joséphine et sa sœur ainée, Irène, ont été élevées par leur père. Lui et leur mère se sont séparés quand Joséphine avait un peu plus d’un an, et on ne leur en jamais beaucoup parlé, c’est un sujet tabou dans la famille. Le départ de la femme de François Chevalier a fait beaucoup jasé dans les salons privés de la haute, et la famille a eu du mal à s’en remettre.

Son père leur racontait parfois que leur mère était étrangère –une irlandaise – et qu’elle avait préféré retrouver son pays et abandonner sa famille. La seule chose que les sœurs ont héritée de leur famille maternelle est une chevelure d’un roux flamboyants. Joséphine a depuis longtemps abandonné l’idée d’en apprendre plus sur sa mère. Il faut dire que sa présence ne lui a jamais vraiment manqué, elle n’en a aucun souvenir et son père a suffi à les rendre heureuse, elle et sa sœur. Joséphine et Irène n’ont manqué de rien, au contraire. Elevée dans l’opulence, choyée par un père aimant et des gouvernantes dévouées, les petites filles grandissent dans un milieu privilégié et ne souffrent jamais de l’absence de leur mère.

Irène est âgée d’un an de plus que sa cadette et les deux sœurs sont très proches. Véritablement inséparables, elles font tout ensembles, et se ressemblent beaucoup, aussi bien physiquement que sur le caractère. Pourtant,  Joséphine connait des expériences qui ne semblent pas affecter sa sœur. Dès ses six ans, elle fait de drôles de rêves, des rêves prémonitoires. Tout le monde autour d’elle la rassure, on lui dit que tous les enfants mélangent leurs rêves avec la réalité, que ce ne sont que des coïncidences, mais la petite fille ne peut s’empêcher de remarquer que, très souvent, ce qu’elle rêve se réalise.  Lassée de s’entendre répéter qu’elle s’inquiète pour rien et raconte des histoires, elle finit par ne plus parler de ses rêves à personne d’autres qu’Irène, qui trouve ce phénomène fascinant.

A l’âge de neuf ans, Irène réalise son premier acte de magie en immobilisant in extremis un vase en cristal qu’elle avait renversé en courant dans un couloir. Pour la féliciter, son père lui offre la licorne qu’elle réclame depuis des années. Joséphine est verte de jalousie, et ne supporte pas de s’entendre dire que « son tour viendra ». Elle veut une licorne aussi et n’a pas du tout envie d’attendre. La nuit même, elle fait un terrible cauchemar dans lequel son magnifique chat persan se fait piétiné par la nouvelle licorne de sa sœur. Elle se réveille en pleurant et sa gouvernante de l’époque – Marguerite–  passe de longues minutes à la calmer et à lui assurer que tout cela n’est qu’un rêve. Les elfes de maison et le reste des domestiques sont sidérés, le lendemain matin, quand il découvre le pauvre Moustache réduit à l’état de carpette. Visiblement, le parc de la demeure familiale n’était pas assez grand pour les deux animaux. Joséphine est inconsolable, persuadée que c’est de sa faute, et Irène est désolée. Pour réconforter sa cadette, son père lui offre une licorne à elle aussi. La petite fille oublie alors bien vite cet incident, qui reste pourtant dans toutes les mémoires.

Un après-midi, quelques semaines plus tard, son père l’emmène chez un spécialiste, une sorte de médicomage, mais pour le cerveau. Joséphine est alors âgée de huit ans et n’est pas vraiment emballée par l’idée. Elle traine des pieds et répète qu’elle n’est pas malade, mais son père réussit à la convaincre de coopérer en lui promettant de l’emmener un week-end dans leur chalet à Courchevel. Après un rapide examen et une longue discussion à propos de ses rêves, le verdict tombe : Joséphine est douée de voyance. C’est un don très rare, même chez les sorciers. Son père et fou de joie et emmène ses deux filles passer toute une semaine à la montagne pour fêter ça.

Tout à coup, tout le monde s’intéresse de très près aux rêves de la petite fille, qui prend un certain plaisir à être ainsi le centre de l’attention. Le médicomage lui a expliqué que lorsqu’elle apprendrait à maitriser sa magie, à l’école, son don pourrait faiblir si elle ne faisait pas l’effort de l’entretenir. La voyance est innée, mais doit être travaillée pour pouvoir être maitrisée et comprise. Pour le moment, la fillette n’a que faire de ces conseils et s’amuse à épater la galerie en prévoyant la météo ou le menu du diner. Son univers et sa connaissance du monde étant limité au cocon familial, ses visions ne sont pas beaucoup plus intéressantes que cela.

Joséphine a dix ans quand Irène part pour Beauxbâtons, et pense mourir d’ennui sans sa sœur. Elle tourne en rond dans les grandes pièces vides de leur hôtel particulier parisien, dont le parc magique ne lui semble plus si attrayant. Mêmes les escapades à Deauville ou St-Tropez perdent de leur saveur sans Irène pour lui tenir compagnie. Son père la couvre de cadeaux mais rien n’y fait : Joséphine veut aller à Beauxbâtons, elle aussi. Après une année qui lui semble interminable, elle retrouve enfin son ainée pour deux mois de vacances, qu’elles passent à parler de sa future rentrée à l’école. Irène lui raconte chaque jour des anecdotes à propose de l’école de magie et Joséphine rêve de son arrivée à Beauxbâtons toutes les nuits. La nouvelle gouvernante –Isabelle– emmène les deux sœurs dans les grands magasins parisiens pour faire leurs courses scolaires et elles dépensent sans compter.

Le 1er Septembre 1988, quand elle entre finalement dans la cour de l’école de magie, Joséphine est assaillie par une impression de déjà-vu réconfortante, bien qu’elle n’y ait jamais mis les pieds. Elle se lie rapidement d’amitié avec tous les élèves de son année, elle n’est pas timide pour un sous et est appréciée pour sa joie de vivre. Elle se rapproche d’une camarade de son dortoir, Fleur Delacour, qui deviendra l’une de ses meilleures amies. Sa première année de scolarité se déroule sans encombre. Comme l’avait prédit le médicomage, ses rêves prémonitoires se font beaucoup plus rares, et moins clairs. Son sommeil est toujours agité mais ne lui offre que des visions brumeuses, et des signes qu’elle ne parvient pas à interpréter. Elle ne parle pas de son don de voyance aux autres filles de son dortoir, trop effrayée à l’idée qu’on l’accuse de mentir et qu’elle ne puisse pas prouver la vérité.

Joséphine est une élève épanouie et très à l’aise dans son nouvel environnement, elle s’entend bien avec toute l’école et gagne rapidement en popularité. Ses professeurs lui reprochent bien trop souvent ses bavardages mais elle ne peut s’empêcher de discuter dès qu’elle en a l’occasion. Elle se retrouve régulièrement assise toute seule au fond de la classe, ce qui ne suffit pas à faire remonter ses notes. Sans être une mauvaise élève, Joséphine n’a pas vraiment de très bonnes notes. Elle n’est pas très travailleuse et se contente souvent du minimum demandé. Elle se maintient à un niveau tout juste correct, uniquement pour que son père ne la prive pas d’argent de poche.

L’adolescente se révèle réellement à treize ans, dès ses premiers cours de Divination. Les paroles de son professeur, nébuleuses pour tous ses camarades, lui paraissent limpides. Tout cela semble enfin éclairer une partie de sa magie qui lui paraissait jusqu’alors obscur. Elle se décide finalement à parler de son don de voyance aux autres élèves et sa cote de popularité explose. Les joueurs de Quidditch viennent la voir pour obtenir des pronostics, on lui demande son avis sur les questions des examens à venir et ses camarades de dortoir veulent toutes connaitre le nom de leur futur mari. Bien évidemment, Joséphine est parfaitement incapable d’accéder à ses requêtes, la plupart du temps. Si elle interprète mieux ses prémonitions, elle ne parvient pas à les contrôler et elles n’arrivent jamais quand elle le voudrait. Un jour, elle parvient à prédire une semaine à l’avance que le professeur de Potions sera malade le jour de l’examen prévu le mardi suivant, et ce simple exploit lui vaut la reconnaissance et l’admiration de toute son année.

Son professeur de divination, épaté par ses capacités, la prend sous son aile. Joséphine passe les années suivantes à appréhender ce don particulier, à le tester et à essayer de le comprendre. C’est un travail difficile, qui demande beaucoup d’efforts pour peu de résultats. Irène l’encourage à poursuivre dans cette voie, persuadée que ce pouvoir peut la mener loin dans la vie, mais Joséphine est de plus en plus découragée.

Irène quitte finalement Beauxbâtons  avec son BACS (Brevet Avancé de Charmes et Sortilèges). Joséphine envie terriblement son ainée et ne rêve que du moment où elle pourra elle aussi arrêter ses études pour rentrer dans la vie active –qui consistera pour elle à faire le tour du monde pour disséminer la fortune de son père. Alors qu’elle entre en septième année, Madame Maxime, la directrice, leur annonce une excellente nouvelle. Une délégation de dernière année va avoir la chance de partir une année compète à Poudlard, en Angleterre, pour le Tournois des trois sorciers. Joséphine accepte cette bonne nouvelle comme un avant-goût de son tour du monde et fait tout pour faire partie des chanceux. Son professeur de divination s’oppose à son départ, et lui assure qu’elle a plus que jamais besoin de travailler mais Joséphine n’en fait qu’à sa tête et s’envole pour Poudlard en compagnie d’une partie de ses camarades.

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De cette année à Poudlard Joséphine gardera des souvenirs mitigés. Elle a adoré pouvoir rencontrer des élèves d’autres écoles de magie et pouvoir améliorer son anglais en flirtant avec de beaux british. L’un de ses meilleurs souvenirs restera le bal de noël, auquel elle s’est rendue au bras d’un certain George Weasley avec qui elle a aujourd’hui perdu tout contact. Elle lui a écrit plusieurs lettres l’été après le tournoi mais il y a répondu en lui envoyant une boite violette qui lui a mis un coup de poing dans l’œil quand elle l’a ouverte. Elle a aussitôt cessé toute correspondance. Mais cette année fut également la source de beaucoup d’angoisses.

Joséphine s’est énormément inquiétée pour son amie Fleur, la championne de Beauxbâtons, et a manqué de  mourir de peur lors de chacune des trois épreuves. Elle a essayé de se servir de son don pour prédire l’issue du tournoi, mais n’y est pas parvenue, ce qui l’a agacé au point qu’elle a préféré abandonner. Au lieu de lui révéler le gagnant de la compétition ses rêves lui montrent toujours la même vision. Un labrador au pelage doré gisant sur le sol de ce qui ressemble à un stade, sans vie, et à ses côté un magnifique cygne blanc, qui pleure. Joséphine n’y comprend rien. Elle manque de provoquer un scandale au cours de la première tâche du tournoi en voyant Cédric Diggory  changer un rocher en labrador pour distraire son dragon. Elle crie à qui veut bien l’entendre qu’il faut à tout prix mettre fin à l’épreuve pour sauver le pauvre animal d’une mort certaine, mais hormis quelques-uns de ses camarades, personne ne lui prête vraiment attention. Elle voit finalement Cédric sortir indemne de l’épreuve, son labrador sur les talons, et se sent idiote d’avoir ainsi paniqué. Ses rêves sont stupides, ils n’ont rien de véritables prémonitions !  Elle décide de ne plus leur accorder le moindre crédit.

La mort de Cédric Diggory, le soir de la troisième épreuve, est un terrible choc. La mort, cette idée plus ou moins abstraite qui concernait plutôt les autres, la touche pour la première fois et Joséphine en est très peinée. Le choc est d’autant plus grand lorsqu’elle apprend, à l’occasion d’une discussion à propos de Cho Chang, la pauvre petite-amie du défunt, que le patronus de cette dernière est un cygne. Le labrador mort et le cygne triste. Elle l’avait prédit. Elle aurait pu le savoir, elle aurait le savoir, si seulement elle avait compris le message. Il aurait suffi qu’elle se donne la peine d’y réfléchir, de creuser un peu.

L’adolescente entre dans une colère folle, dirigée contre elle-même mais qu’elle projette sur son professeur de divination à la minute où elle rentre à Beauxbâtons. A quoi bon un don de voyance si elle ne peut même pas faire en sorte d’éviter le pire quand celui-ci s’annonce à elle ? Elle veut tout arrêter, elle refuse de poursuivre ses efforts sans jamais se rapprocher du but. A grand renforts de paroles réconfortantes et de promesses, son professeur parvint à la convaincre de se réinscrire à l’école de magie pour ainsi compléter régulièrement sa septième année et pouvoir poursuivre des études avancées en divination. Joséphine accepte et rentre chez elle, certaine que son père sera ravi d’apprendre que l’une de ses filles poursuit ses études. Mais elle trouve son père anxieux, fatigué et distant, cet été-là. Il est encore moins présent à la maison que d’ordinaire, évite de croiser son regard et se réveille toutes les nuits. Irène rentre tout juste d’un voyage de six mois au Brésil et les sœurs sont heureuses de passer du temps ensembles mais leurs retrouvailles sont ternies par le comportement de leur père. Tous les cadeaux du monde ne parviennent pas à cacher son état et c’est contrariée que Joséphine reprend le chemin de Beauxbâtons pour une huitième année.

Sa huitième année à l’école est différente des précédentes. Elle ne retrouve presque aucun camarade de son ancienne promotion, et son année en Angleterre l’a éloignée des élèves des années inférieures. Elle créée rapidement des liens avec quelques filles de son nouveau dortoir, mais rien de comparable avec ce qu’elles partageaient avec ses anciennes amies. Elles s’écrivent un peu, mais chacune est prise par sa nouvelle vie et après quelques semaines même les lettres de Fleur –retournée en Angleterre- se font rares.  Cela permet à Joséphine, pour la première fois, de se concentrer uniquement sur ses études, et elle fait de véritables progrès.

Finalement, la réponse aux questions qu’elle se posait à propos de son père finit par tomber un mardi matin, le 07 novembre 1995 : François Chevalier a été arrêté pour escroquerie. Joséphine apprend la nouvelle dans le journal du matin, en même temps que la moitié de l’école. Elle s’éclipse aussitôt, prise de vertiges, refusant de croire ce qu’elle vient de lire. Son père aurait volé des millions, en faisant de mauvais placements avec l’argent de ses plus riches clients. C’est impossible. Une dette de plusieurs millions, et son père derrière les barreaux, elle refuse d’y croire. Elle demande à quitter l’école, elle doit voir sa sœur. On l’y autorise, mais pas avant d’avoir répondu à quelques questions d’agents de la Police Magique qui viennent de débarquer à Beauxbâtons.  

Dès l’interrogatoire terminé, Joséphine transplane pour son hôtel particulier à Paris et manque de s’évanouir en découvrant des agents occupés à évaluer chacun des objets de la grande demeure, les deux licornes y compris. Elle est vite rejointe par Irène, sous le choc également. On leur donne 48h pour prendre leurs affaires et quitter les lieux. Tous les comptes en banque de leur père sont gelés. Son procès aura lieu prochainement. On leur communiquera la date. Leur appartement parisien va être mis en vente. Leur chalet à la montagne et leurs maisons de vacances aussi. Elles n’ont plus rien.

Passées de millionnaires à fauchées en un rien de temps, les deux sœurs ne parviennent pas à réaliser ce qui leur arrive. Elles passent les quarante-huit heures suivantes dans le brouillard, à errer dans cet appartement qui ne leur appartient déjà plus. Elles sauvent ce qui leur semble le plus important sur le moment : tout l’argent liquide qu’elles peuvent trouver, des kilos de bijoux, des vêtements de créateurs, beaucoup trop de chaussures. Joséphine regrettera plus tard de ne pas avoir pensé à emporter le stylo plume en argent massif que son père aimait tant, son ours en peluche ramené de son premier voyage aux Etats-Unis, et son coussin préféré, offert par sa première gouvernante pour son sixième anniversaire.

Deux jours plus tard, Irène et Joséphine se retrouvent dans la petite chambre d’un hôtel moldu de la banlieue parisienne, complètement perdues. Tous les amis de son père ont perdu énormément d’argent par sa faute, et leur propre famille a souffert des placements malchanceux de leur père, tous leur tourne le dos. On leur conseille de quitter le pays, de se faire oublier, mais pour aller où ? Les deux jeunes femmes n’ont aucune expérience de la « vraie vie », comme leur gouvernante appelait ça quand elle leur disait qu’elles étaient trop gâtées. Elles ont assez d’argent pour vivre correctement pendant plusieurs mois, mais dépensent tout en quelques semaines. Elles en arrivent rapidement à devoir se séparer d’une partie de la garde-robe qu’elles ont emportée et décident de se trouver un boulot pour gagner un peu d’argent. Aucune des deux n’avaient pensé devoir travailler un jour.

Leur nom de famille devient un véritable fardeau à porter, on leur claque toutes les portes au nez. De toute façon elles ne sont bonnes à rien, Irène n’a pas fait d’études et Joséphine n’a même pas son BACS. Elles décident finalement de suivre les conseils de leur grande-tante et de quitter le pays. Joséphine veut retourner en Angleterre, elle s’était plu là-bas, mais Irène lui assure que ce n’est pas une bonne période pour l’Angleterre, on y murmure que le grand mage noir Lord Voldemort serait de retour. C’était en effet ce qui se disait à la fin du Tournois des Trois Sorciers, Joséphine n’avait pas accordé trop d’importance à cette information, sur le moment, mais décide d’écouter sa sœur et d’abandonner l’idée de retourner au Royaume-Uni pour le moment. Les deux sœurs partent finalement pour l’Allemagne et atterrissent dans un hôtel miteux à l’est de Berlin.

Elles finissent par trouver un emploi, dans un bar-cabaret du quartier magique de Berlin. On y reçoit beaucoup de sorciers étrangers et deux jolies filles qui parlent anglais et français peuvent être utiles. Elles sont très loin de l’avenir dont elles rêvaient mais saisissent l’opportunité, faute d’autre choix. Irène manque de s’étouffer en apprenant que le poste implique de servir les clients en tenue légère, mais Joséphine s’en fiche. C’est bien payé, c’est de l’argent facile, elle le prend sans hésiter. Les sorciers étrangers ne sont pas les seuls à aller et venir dans l’établissement. Même de sa vie de riche héritière, Joséphine a rarement vu autant d’argent liquide passer de main en main. Quelque chose lui dit qu’on ne vend pas que des cocktails ici. En se rapprochant d’un des videurs du cabaret, elle apprend que le gérant connait des gens dans le monde de la drogue. Il n’en vend pas beaucoup lui-même, mais il aide à blanchir l’argent. Et ça rapporte.

Joséphine s’adapte rapidement à son nouveau milieu. Elle regrette tous les jours son immense baignoire, son lit moelleux et ses draps en satin, mais elle s’habitue. Elle commence même à s’amuser un peu. De temps en temps, elle remplace une des danseuses sur la scène du petit cabaret, ça lui plait. Elle écrit un peu à son père, qui ne cesse de s’excuser de leur imposer ça à elle et sa sœur. Elle n’arrive pas à voir en lui le monstre que tout le monde dépeint. Il n’est pas un voleur sans scrupule à ses yeux, il est son père et le restera quoi qu’il fasse. Irène vit beaucoup moins bien ce changement radical, elle en veut terriblement à leur père et ne rêve que d’abandonner ce travail qu’elle trouve dégradant. Le gérant, un certain, Anke, est tombé sous son charme mais elle refuse fermement ses avances. Elle refuse de fréquenter les gens de ce milieu. Elle mettra six mois à céder aux beaux yeux bleus d’Anke, pour le plus grand bonheur de Joséphine qui est plutôt heureuse de voir sa sœur finalement accepter leur nouvelle vie.

Un an après leur arrivée à Berlin, la situation des deux sœurs s’est nettement améliorée. Irène a abandonné le poste de serveuse pour celui de co-gérante, elle a emménagé avec Anke et Joséphine loue un studio dans le quartier du cabaret. Le Chaudron Rouge et ses employés sont devenus une deuxième famille pour elle. A tel point qu’elle finit par se confier à Anke à propos de son don de voyance. Ce dernier y voit une véritable opportunité. Il lui assure que beaucoup de sorciers seraient prêt à payer cher pour qu’on leur révèle leur avenir. Joséphine lui explique qu’elle ne maitrise pas ses facultés et qu’elle est incapable de garantir le moindre résultat, ce à quoi Anke répond par un haussement d’épaules. Rien n’empêche d’embellir un peu la vérité, et de jouer un peu sur le bluff, il suffira de quelques coups de chances pour convaincre le public. Et puis, il a quelque chose qui pourrait l’aider à entrer en transe plus facilement...

A vingt ans, Joséphine découvre la mona lisa et devient l’attraction du jeudi soir au Chaudron Rouge. Son numéro n’est pas très compliqué, elle danse un peu, elle parle, elle se promène dans le public, elle lit dans les lignes de la main des clients, voit l’avenir dans des boules de cristal. La mona lisa aidant, elle arrive à avoir de véritables prémonitions qui aident à forger sa réputation de voyante. En vérité, elle bluff au moins 75% du temps, mais son public est suffisamment ivre ou plongé dans la contemplation de son décolleté pour s’en rendre compte. Elle rencontre un franc succès, et ça lui plait. Les jeudis voyance deviennent des mardis, puis un samedi sur deux. En deux ans elle est devenue une véritable attraction du quartier, les habitués l’appellent la Grande Prêtresse, et elle s’en amuse beaucoup. La vie est loin d’être facile tous les jours, son père lui manque, son ancienne vie aussi, et elle a souvent honte d’utiliser ainsi un don qui aurait pu lui être autrement plus précieux, mais elle oublie vite ces préoccupations quand vient le moment d’empocher ses pourboires.

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Pendant dix ans, sa vie se résuma à cela. Irène et Anke finirent par se marier. Le cabaret marchait de mieux en mieux, Joséphine avait toujours du succès, l’argent tournait, la mona lisa aussi. Elle était si souvent sous l’emprise de cette drogue magique que ses souvenirs de l’époque sont un peu flous. Mais elle se souvient de cette sensation de vivre au jour le jour, de ne pas savoir de quoi son avenir serait fait. Ce sentiment d’insécurité était complètement nouveau pour elle, mais il n’était pas aussi désagréable que ça. Plus elle gagnait d’argent et plus elle en voulait, c’était si simple. On ne lui demandait que si peu de choses en échange…Certains la voulaient à leur bras pour épater leurs collègues à une soirée, certains voulaient l’embrasser, la toucher…Et elle laissait faire, dès qu’elle avait l’argent en poche. Elle dépensait sans compter, retrouvant le plaisir de pouvoir s’offrir les choses dont elle avait envie. C’était simple, finalement, de devenir riche. Certains de ses clients étaient prêts à payer très chers pour une de ses prémonitions, et Joséphine gardait l’argent quoiqu’il se passe. Si elle avait la chance d’avoir une vraie vision, tant mieux pour eux, sinon elle inventait. Bien sûr ils reçurent des plaintes, auxquelles Anke répondit que la divination était un art nébuleux et qu’il fallait parfois des années pour que le véritable sens d’un présage se révèle. Joséphine gagna des milliers avec ses mensonges.

Et, un soir, tout bascula. Comme ce fameux 07 novembre 1995. Le 11 juin 2008, la veille de son anniversaire, un lundi, son soir de repos, la police magique débarque dans le Chaudron Rouge. L’établissement est fermé pour blanchiment d’argent. Ils embarquent tout le monde. Joséphine reçoit un patronus d’Irène, envoyé in extremis au moment de l'arrivée des agents, et transplane aussitôt. Elle quitte l'Allemagne sans rien emmener avec elle de plus que son sac à main.

La jeune femme de trente ans se retrouve de nouveau en France, sans le sous, Irène en prison pour dix-huit mois. Cette fois, plus que lors de l’arrestation de son père, elle a le sentiment qu’elle ne s’en relèvera pas. Elle avait réussi à rebondir, à se réinventer, mais cette fois c’est trop dur. Complètement seule, elle finit par aller frapper à la porte d’Isabelle, une de ses anciennes gouvernantes. La vieille femme l’accueille chaleureusement et offre de l’héberger autant qu’elle le souhaite. Joséphine est tentée, un temps, d’accepter cette proposition, et d’essayer de retrouver sa vie d’avant, mais elle sait très bien que c’est impossible. Elle passe quelques jours chez Isabelle, dort beaucoup, et parvient difficilement à se sevrer de la mona lisa, pour finalement prendre la décision de repartir. Elle n’a aucune idée de la situation politique en Angleterre mais sait que Lord Voldemort n’est plus  à l’ordre du jour depuis longtemps, et décide donc de partir pour la Grande-Bretagne.

Joséphine arrive à Londres en Septembre 2008, pleine de bonnes résolutions. Elle vient de gâcher dix ans de sa vie, à ne pas voir la lumière du jour, à mentir pour gagner sa vie et à laisser la mona lisa tirer les ficelles à sa place. Elle veut profiter de ce nouveau départ pour entamer une nouvelle vie, et ne plus retomber dans ses vieux travers. Son père est en prison, sa sœur aussi, et elle ne connait personne en Angleterre, mais elle est là, alors autant tirer le maximum de cette situation !

Elle loue une chambre avec de l'argent prêté par Isabelle en attendant de trouver un appartement mais les loyers sont exorbitants. Elle rencontre quelques sorciers dans un bar sur le Chemin de Traverse et on lui conseille Bristol. Un ancien cabaret y retrouvait justement son heure de gloire et, avec son expérience dans le milieu, elle pourrait être utile là-bas. Oubliant bien vite sa résolution de changer de mode de vie et trop heureuse de cette aubaine, Joséphine quitte aussitôt Londres pour Bristol et s'empresse d'aller frapper à la porte des bientôt célèbres Folies Sorcières. Elle est embauchée sur le champs comme danseuse de revue. Joséphine trouve que cela sonne vraiment bien comme titre et se lance dans cette nouvelle carrière avec enthousiasme.

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Elle s'intègre rapidement à son nouvel environnement. Elle finit par retomber sur ses pattes, loue une chambre à Bristol, parvient à gagner sa vie et à garder un peu de son salaire pour l'envoyer à Irène en prison. Elle s'entend bien avec toutes les autres danseuses, et elle a ses clients réguliers. Les manifestations de son don de voyance se font rare, et elle s'est juré de ne plus monnayer ses talents, du moins pas ceux-là. C'est un engagement qu'elle a du mal à tenir, particulièrement que la mona lisa est si facile à se procurer, aux Folies.

Josie devine bien qu'il se joue des parties bien plus importantes qu'il n'y parait dans les salons privés du casino, et que les Folies Sorcière sont bien plus qu'un simple lieu de paillettes et de débauche, mais à vrai dire elle s'en fiche un peu. Peu importe qui sont ces hommes riches qui fréquentent le cabaret et ce qu'ils ont fait pour en arriver là, du moment qu'ils laissent de bons pourboires. Et puis, s'ils arrivent à rendre les rues de Bristol un peu plus sûres, alors Joséphine ne voit pas de quoi se plaindre ! Le couvre-feu et les contrôles sur le ville finissent toutefois pas lui peser et la jeune femme profite des premières offres de logements à Léopolgrad pour louer un studio dans un des nouveaux immeubles flambants neufs de la ville. Elle s'accroche toujours à ses résolutions, qui ont un peu évoluer en un an de temps mais auxquelles elle continue de s'astreindre plus ou moins sérieusement.

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Famille et entourage

Irène Brückmann - Sœur ainée
La première fille de François Chevalier a connu un destin tristement similaire à celui de son père. Pourtant loin d'avoir escroqué des millions de galions, la jeune femme se retrouve à purger une peine de deux ans de prison pour blanchiment d'argent et complicité de trafic de matières stupéfiantes. C'est une jeune femme au caractère bien trempé mais qui se prétend plus forte et indépendante qu'elle ne l'est vraiment. Joséphine essaye de lui écrire souvent et de lui envoyer le peu d'argent qu'elle arrive à économiser sur son salaire. - Avatar : Amy Adams

François Chevalier - Père
Ancien banquier fortuné, François Chevalier est maintenant derrière les barreaux pour un bon bout de temps. Il est un homme aussi exécrable qu'il a été un père modèle. Ambitieux, sans scrupule et cupide, il a plongé des tas de famille dans les problèmes financiers. Ses filles sont ce qu'il a de plus précieux au monde et il ne pouvait rien leur refuser. Il a été un père très protecteur et dévoué, bien qu'un peu absent parfois. Joséphine lui écrit souvent, quand elle y pense, et qu'elle a le temps. Il lui manque beaucoup, et sa fortune aussi.

Anke Brückmann - Beau-frère et ancien employeur
Quand elle y pense sérieusement, Joséphine se dit qu'elle doit beaucoup à Anke. Il lui a donné un emploi quand personne ne voulait d'elle et lui a permis de se découvrir sous un nouvel angle, de se créer une nouvelle vie, mais elle n'aime pas vraiment l'idée d'être redevable à un dealer en prison, alors elle évite d'y penser sérieusement. Et puis, il est celui qui l'a entrainé dans une vie de débauche et de mensonges, alors elle préfère l'oublier. Le fait qu'il soit marié à sa sœur n'est qu'un infime détail.

Mildred Magpie - Employeur
à définir en jeu

Robin McFarlane - Collègue
à définir en jeu






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