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Dave Brutus Marchebank

Dave Marchebank
Dave MarchebankEmployé de la March Bank
Messages : 203
Profil Académie Waverly
Dave Brutus Marchebank Icon_minitimeDim 24 Aoû 2014 - 18:43
Dave Brutus Marchebank

L'Histoire est écrite par les vainqueurs


Age17 ans
Date de naissance27 août 1991
Lieu de résidenceManoir Marchebank, Cornouailles

Baguette « 29,75 cm, plume de phénix. Du bois d’ébène... Intéressant. Je n’ai pas vendu d’ébène depuis un moment, jeune homme. » Ces mots prononcés par Ollivander avaient tant éveillé la curiosité du petit Dave, qu’il s’était empressé de chercher des réponses là où il les avait toujours trouvées : dans un livre, et en l’occurrence, celui qu’Ollivander lui-même avait écrit, à propos de ses baguettes. « L’ébène trouvera son plus grand bonheur entre les mains de ceux qui ont le courage d’être eux-mêmes. Souvent non-conformistes, hautement individualistes et très à l’aise dans leur statut de marginaux. Le parfait propriétaire d’une baguette d’ébène est quelqu’un qui restera toujours fidèle à ses convictions, quelle que soit la pression exercée sur lui. »...  Et petit Dave s’est abreuvé de ces phrases, car il y a vu la promesse d’être quelqu’un de différent, quelqu’un de grand !

Animal de compagnieDave préfère l’odeur du vieux parchemin à celle d’une cage de perruche pleine d’excréments à nettoyer, mais à part ça, il ne critique pas du tout le zoo ambulant de son père.

AvatarJesse Eisenberg

AutreNoah, Kathrina et Roy ont cédé à un autre colocataire sous la pression de plein de vils arguments

Curriculum Vitae

Métier / Année d'étude7ème année
Maison / Ancienne MaisonSerpentard

Matières suiviesSortilèges
Métamorphose
Défense contre les Forces du Mal
Histoire
Etude des Moldus
Arithmancie
Etude des Runes


Vie associative / hobbiesLe club d’échecs de Serpentard est content de compter Dave dans ses rangs quand il s’agit de leur faire gagner des matchs. Il est moins content quand Dave « passe juste dire bonjour », autrement dit,  vient rétamer en toute courtoisie la moitié de ses camarades qui ont la malchance de se trouver là. Tout comme une Lauren qui a besoin de son coup de batte du matin, Dave aime avoir son petit nouveau à plumer aux échecs. C’est occasionnel, heureusement. Le Gobelin fréquente davantage la bibliothèque de l’école, à la recherche d’un livre qu’il n’a pas encore lu.


Bord politiqueL’APPEL est le parti qui se rapproche le plus de ses idées sociales et économiques, mais Dave le juge trop tiède et trop reposé sur les lauriers de la guerre et l’image de marque Granger-Weasley. Il s’est intéressé un moment au MIM, ravi qu’un parti propose enfin clairement aux sorciers d’arrêter de se regarder le nombril et de profiter du savoir moldu, mais il s’est vite trouvé déçu des arguments du parti, qu’il juge culpabilisants pour la société sorcière. Au lieu de mettre en valeur tout ce les sorciers pourraient tirer d’améliorations de leur quotidien en allant fouiner un peu dans la technologie moldue, le MIM a préféré accuser le racisme et pointer du doigt certaines franges de population. N’y avait-il donc personne pour voir que le monde magique avait besoin de retrouver de l’espoir, et non de se lamenter sur des erreurs passées ?
Dave est en somme lassé que la guerre des Ténèbres imprègne encore tous les discours, entre le clan des héros de guerre, le parti des bien-pensants frileux et les abrutis du « c’était mieux avant » -sans vouloir offenser son oncle John, bien sûr- Dave ne trouve pas résonance à ses préoccupations. Oui, oui, mais après ? Et l’avenir ?
Le FREE est à la grande mode, et paraît le seul parti à proposer un véritable changement. Bien sûr, Dave soutient son père dans son entreprise politique, mais cela ne l’empêche pas de rester clairvoyant… D’essayer, en tout cas.


Relation au régime Marchebank En tant que citoyen, Dave approuve le programme du FREE, réellement novateur et en réponse aux problèmes les plus urgents. En tant que fils, Dave croit aux réformes que promet son père, car il sait que Leopold n’est pas homme à brasser de l’air. Sa seule crainte de Dave concernant les projets du FREE, c’est la démagogie et la récupération politique dont allait forcément l’accuser… pas vraiment à tort, d’ailleurs. Dave ne soupçonne pas l’ombre d’une part de tyran dans la personnalité de son père qu’il a toujours admiré, et il se pourrait bien qu’il refuse de la voir.


Description physique
Ce n’est pas ici que se trouverez un charme à ce garçon. Pourtant, il s’est entraîné à la suggestion du regard ou du sourire face à un miroir, puis l’a essayé un bon matin sur Lauren pour voir sa réaction, elle lui a proposé de l’aider à recracher son petit déjeuner qui, de toute évidence, passait mal. Cela dit, il n’avait peut-être pas pris le bon cobaye.
Dave doit donc se contenter de n’impressionner que les premières années avec sa carrure de perche. Il vaut bien un Grady McNeil en matière de taille, et même s’il n’effraie personne avec ses bras de poulet, c’est pour lui une certaine satisfaction de donner toute leur efficience à ses regards « de haut ». Il est toutefois beaucoup moins maladroit que son camarade de Poufsouffle. L’unique descendant légitime des Marchebank ne peut marcher qu’avec dignité ! Laissez-le donc s’enorgueillir de son héritage familial, puisqu’il ne peut pas compter sur celui génétique. Car Dave n’est pas plus beau que son père, il n’a ni nez fin, ni joli teint, ni sourire mutin dont il pourrait être fier, mais il n’en fait pas tout un chaudron. Il estime que ses qualités sont ailleurs et considère avec un mépris –teinté d’une aigreur qu’il ne reconnaîtra pas- les personnes qui misent sur leur physique pour réussir. Pas par jalousie, ce n’est qu’une question de bon sens pour lui : la beauté, par essence éphémère, ne peut être une alliée fiable. L’esprit est un meilleur cheval, plus durable, et c’est ce que Dave a choisi de cultiver. Avec ses boucles, bien sûr.


Caractère
Son visage est familier avec principalement deux types d’expression, soit l’indifférence, soit la condescendance, ce qui fait que Dave n’a pas l’air très sympathique au premier abord. Au second non plus, en fait, il n’est pas vraiment sympathique. Il se lasse très vite d’une personne qui n’a pas de conversation, soit, selon lui, les trois quarts de Poudlard. S’il daigne vous lancer quelques piques, c’est que vous commencez à l’intéresser, ou qu’il a une dent contre vous, cela peut arriver aussi. Dave n’est pas quelqu’un de facilement irrascible, mais il est capricieux, et il a vite tendance à cataloguer les gens selon s’ils se mettent en travers de sa route ou non. A cela s’ajoute un perfectionnisme qui a tendance à le rendre très expéditif. Dave n’est pas encore l’homme d’affaires qu’il aimerait devenir, mais nul doute qu’il ne sera pas le genre à s’embarrasser d’un employé paresseux. La rentabilité, il en a déjà fait son cheval de bataille, rien ne l’exaspère plus que l’inaction et le manque d’objectif. D’ailleurs, dans son échelle d’appréciation de l’humain, le fainéant à la Adrian Calder, confortablement assis sur un petit pourcentage de ses capacités est quelque part en-dessous du caniveau où sont classés les moutons obnubilés par leur sociabilité—où s’illustre encore une fois Monsieur Calder. Dave veut que tout aille vite et bien, et Dave regrette qu’il n’y ait pas plus de personnes efficaces et intelligentes comme lui.

Son flagrant manque de modestie, ajouté à sa réputation de rat de bibliothèque, ont plutôt desservi sa vie sociale. Dave n’est pas un mauvais camarade, il ne refusera pas de vous prêter un cours ou vous aider pour un devoir par exemple -il faut juste accepter de l’entendre palabrer pendant des heures-, mais il n’a pas beaucoup d’amis. Pour autant, il ne se remet pas en question, il impute vite cette situation sur le dos des autres qui seraient trop immatures pour comprendre son état d’esprit. Car Dave est un garçon qui a grandi trop vite ou trop différemment. Il ne parvient pas à s’émouvoir des premiers amours, des derniers ragots ou de la dernière tenue extravagante du professeur Hellsoft comme la plupart des adolescents de son âge. C’est trop banal, et Dave, digne fils de son père, s’ennuie vite de ce qui est banal… Il s’est tellement abreuvé d’histoire et de littérature depuis tout petit, qu’au fond, le jeune Marchebank est un grand rêveur, éternel insatisfait de la vie réelle. Ainsi, Dave ne parvient pas à rentrer dans un moule, de toute manière trop petit pour lui. S’il accepte aujourd’hui le fait d’être « différent », cela n’a pas toujours été le cas, comme tout le monde, Dave est passé par sa petite crise d’identité. Il lui est resté de cette période de sa vie son humour parfois grinçant, et sa répartie cinglante, puisque les mots étaient, à cette époque et encore aujourd’hui, sa seule arme.

A ce propos, Dave est tout à fait prêt à reconnaître ses torts si vous réussissez à lui prouver qu’il est en tort, c’est là que je dois vous souhaiter bon courage. Car au duel de l’argumentation, le Serpentard se défend plutôt bien. Si le sujet l’intéresse, il est capable de passer des heures à défendre sa position, jusqu’à en devenir exaspérant, il s’est d’ailleurs déjà plusieurs fois fritté avec son oncle John Warlock. Contrairement à ce que l’on pourrait attendre d’un enfant de Sang-Pur si passionné d’Histoire, Dave est un garçon résolument tourné vers l’avenir, aux convictions profondément modernes. Inconsciemment imprégné par tout ce qu’il a pu lire, il ne s’imagine pas un autre avenir qu’être un important acteur de ce monde. Le Choixpeau avait sérieusement hésité entre Serdaigle et Serpentard, mais chez Dave, la seule chose qui dépasse sa soif de connaissance est son envie de pouvoir. Il est persuadé que le pouvoir se saisit dans les voies plus insidieuses que celles de la politique -trop voyante et hypocrite au goût de Dave- quelque part dans les méandres de la Finance Sorcière, et il compte bien s’y tailler une place… Au fond, Gringotts n’est qu’une première étape dans l’esprit de ce jeune homme ambitieux.


Histoire

« Mais regardez qui voilà ! Le petit Marchebank fils à son papa ! »

Ah, un énième envieux de sa réussite. C’est fou comme être de Sang-Pur, dans une famille riche et bien placée, pouvait vous attiser la rancoeur de certains élèves. Mais contrairement à ce que les rumeurs soufflaient, Dave n’avait jamais corrompu aucun professeur pour se payer les meilleures notes de sa promotion, il les avait gagnées à la sueur de son propre travail. A quoi bon essayer de se justifier ? La seule chose qui ennuya Dave, en quatrième année à l’époque, fut la lourdeur avec laquelle son camarade de Serpentard flanqué de sa bande de copains s’avachit sur le livre qu’il était en train de lire.

« Je veux bien payer la rançon de ma réussite sociale si tu ôtes tes sales mains de mes affaires.
- Qu’est-ce que tu lis ? Encore un bouquin d’histoire sur des trolls et des gobelins ? Tu devrais épouser Schaffer, je suis sûr que vous auriez plein de choses à vous faire lire le soir… Ou non, mieux ! Un gobelin ! Dave Marchebank le Gobelin, ça te va bien ! C’est de famille d’être obsédé par des créatures bizarres ?
- Oh mais ça vole haut, dis-moi. Le concept de l’intérêt intellectuel, ça te dit quelque chose ou je parle Gobelbabil pour toi ? Si tu avais ouvert un jour un livre dans ta vie, tu aurais peut-être compris, mais c’est vrai que vous ne devez pas être très cultivés dans ta famille.
- Je t’interdis d’insulter ma famille !
- Et moi la mienne. Oh, on dirait qu’on est tombés d’accord ! »

Le sarcasme suintant dans la voix de Dave fit devenir tout rouge le garçon. Dave se leva et quitta les lieux avant que son camarade n’ait le temps de lui sauter à la gorge. Il pouvait répliquer par les mots, les poings en revanche, très peu pour lui. Il était pleinement satisfait de lui avoir rabattu le caquet, d’ailleurs. Dave ne se rendait pas compte que son attitude hautaine et provocatrice ne faisait que l’éloigner des autres, ou plutôt, il s’en fichait bien. Il n’y avait rien qu’il maudissait plus que ces élèves populaires qui se pavanaient dans Poudlard comme s’ils étaient meilleurs que tout le monde, alors qu’ils étaient profondément pathétiques aux yeux du Serpentard. Ce n’était pas en s’entourant d’une bande de copains tous plus stupides les uns que les autres qu’on obtenait quoique ce soit dans la vie, Dave en était persuadé.

Le surnom de Gobelin le suivit toute sa scolarité à partir de ce jour-là, mais Dave avait de toute façon déjà fait une croix sur tout désir de paraître normal à Poudlard. Les génies étaient toujours incompris et écartés de la sphère sociale, après tout, se disait-il souvent pour se conforter. C’est une véritable carapace que Dave s’est forgé pour se prémunir contre toutes les attaques dont il a été victime depuis la première année. Forcément, quand on est pas très beau, un peu bizarre et qu’on se permet le luxe d’être condescendant, il y a peu d’espoir de se faire des amis. Dave est vite catalogué comme le fils à papa riche et arrogant, et il faut dire, il n’a pas foncièrement cherché à démentir.

Car c’était vrai, Dave n’a jamais manqué de rien dans son enfance, c’est l’avantage d’être fils unique dans une famille prestigieuse et riche. Ses parents ont toujours veillé à son bonheur, il a toujours été bien entouré, aussi bien par les Warlock que par les Marchebank. Dave porte la valeur de la famille dans le sang, pour ainsi dire, il est très attaché à ses parents, ses oncles, ses tantes. Il peut se montrer hautain avec beaucoup de personnes, mais pas avec ses aînés envers qui il reste respectueux, même quand il a des reproches à leur faire.

Être choyé a son mauvais pendant. Dave grandit avec l’idée qu’il peut absolument tout avoir s’il s’en donne les moyens, par chance, les Marchebank les ont déjà. Il se laisse vite flatter par les compliments que l’on accorde à sa famille, par les regards envieux de ses semblables Sang-Purs qui ont pour la plupart souffert de mesures punitives après la guerre. Alors que la société Sang-Pur perd quelque peu de son éclat d’autrefois, les Marchebank-Warlock brillent. Tout leur réussit. Son père est directeur de département, sa tante, chef d’entreprise, son oncle, dirigeant de parti politique. Ils ont la réputation, l’argent, la réussite professionnelle, que demander de plus ?

Et pourtant. Dave demande plus. Le jour où il réalise son premier exploit magique à l’âge de huit ans, Dave fait aussi son premier discours passionné. Il promet à sa mère qu’il sera un grand sorcier, qu’il mènera leur famille à une réussite encore plus grande. A l’époque, elle en avait tendrement souri, elle ne savait pas à quel point il était sérieux. Se reposer sur ses acquis ? Jamais ! Dave a toujours été travailleur, il ne supporterait de toute manière pas l’idée de rester inactif et se contenter de ce qu’il avait déjà.

C’est plein de rêves et d’ambitions qu’il passe les portes de Poudlard. Il rejoint sans grande surprise la maison des serpents. Là, il se fait la promesse de faire une année brillante, et Dave ne chôme pas. A l’instar d’une certaine Granger, il passe ses journées à la bibliothèque. Il a toujours aimé lire, dès sa plus tendre enfance. Il était capable de passer une journée entière à la bibliothèque du manoir, à s’abreuver de récits de légendes sur les plus grands sorciers, sur des conflits mémorables. Ce qu’il préfère ? Lire à propos de civilisations anciennes ou d’autres êtres magiques, Dave est incollable sur l’histoire des gobelins, notamment.

Bref, il ne cesse d’impressionner ses professeurs, qui lui trouvent une étonnante maturité pour son âge. Cela attise forcément quelques jaloux… Qui a commencé, les autres enfants ou lui ? A cet âge, on est souvent sans pitié, Dave a longtemps essuyé des remarques déplaisantes. Puisqu’on ne pouvait pas attaquer un garçon au dossier scolaire si exempt de défaut, il restait les coups bas sur la famille. Mais Dave n’a pas l’intelligence d’ignorer ces remarques mesquines. Outré et blessé dans son honneur, il réplique de plus belle avec tout l’orgueil qui l’habite. Par pur esprit de contradiction, il fait de sa différence son cheval de bataille. Il préfère encore ne pas rentrer dans le moule, si cela signifie s’abaisser à la médiocrité et au pathétisme. Il est brillant, et il en est fier, tant pis pour ceux qui ne le comprennent pas, Dave prend même un certain plaisir à cultiver son image de garçon différent.

Pour autant, il n’envisage pas de passer ses sept années à Poudlard seul contre tous. Dave croit pouvoir apprécier la solitude mais il se heurte vite à la réalité. Il reste un enfant en recherche d’affection, surtout lui, qui a toujours été entouré des siens dans son manoir. Il ne veut pas être malheureux et aigri par la solitude.

Que reste t-il comme option à un outsider comme lui ? Eh bien, approcher d’autres enfants comme lui, et ils n’étaient pas trente-six. Lauren McGowan se fait pas mal remarquer dans leur salle commune, une réputation de brute lui collait déjà à la peau. Elle est toujours flanquée d’une petite blonde, Samantha Miller, avec qui elle a l’air très complice, alors qu’elle paraît si agressive avec tous les autres. Ce duo intrigue Dave, qui commence à les observer. Il est un petit garçon prudent et observateur, il ne se lance pas dans des entreprises vouées à l’échec, alors il prend le temps de connaître les deux jeunes filles, avant de se décider à leur adresser la parole. Il a envie d’intégrer leur petit duo, il a même l’impression qu’elles sont les seules de sa promotion qui l’accueilleront, après tout, elles ont l’air très bien toutes les deux ensemble à ne pas se soucier des autres qui eux, embêtent Dave. En toute honnêteté ? A ce moment-là, il était même un peu amoureux de Lauren. C’était l’époque de sa vie où il croyait qu’avoir une femme forte à ses côtés rendait plus fort. Bon, plus tard, il ferait comme la plupart des hommes, à savoir choisir une femme qu’il pourrait dominer, c’était beaucoup plus simple.

Ses sentiments finissent de toute façon par disparaître -aidés de quelques coups de batte, non vraiment, les filles violentes ne sont par pour lui- au profit d’une amitié très solide. Le trio est né ! Dave ne se sépare plus de ses deux meilleures amies, il s’adoucit en leur présence. Il préfère largement leur compagnie à celle des garçons de son âge, qu’il trouve pour la plupart indisciplinés et immatures.

Dave passe ses années suivantes à Poudlard sans trop d’encombres. Il remporte avec succès ses BUSES, mais ne choisit de poursuivre « que » sept matières. Il les a choisies avec soin, car depuis sa cinquième année, Dave s’est trouvé un projet professionnel précis. Fasciné depuis toujours par la culture gobeline, mais surtout ambitieux et persuadé qu’il peut accroître la fortune des Marchebank, c’est dans le domaine bancaire qu’il veut travailler. Ce projet, Dave n’a pas honte d’en parler, même aux dîners de famille, sous les regards fiers et confiants des siens. Plus il grandit, et plus on lui répète qu’il ressemble à son père, Dave en est si fier qu’il se répète souvent les points communs qu’ils partagent, sans savoir que leurs différences font une montagne à côté, sans se rendre compte qu’en prenant son père pour modèle, il l’idéalise et refuse de voir ses côtés les plus sombres.

Ainsi, quand ses parents montrent les premiers signes de leur mésentente et profèrent les premières menaces de divorce, Dave a plutôt tendance à incriminer sa mère. Il l’aime profondément, comme un bon fils le ferait, mais il a toujours trouvé qu’elle manquait de caractère face à son père, ces dernières années plus particulièrement. Bien ignorant du chantage qu’exerce Leopold sur Meredith, Dave impute ainsi le silence de sa mère sur une faiblesse de caractère, qui l’empêche de retenir son époux.

Les premières véritables turbulences dans la vie du Serpentard arrivent lors de sa sixième année. L’équilibre autrefois parfait de leur famille est définitivement rompu en décembre 2007. Dave a seize ans à ce moment-là, il est assez grand et raisonnable pour comprendre que cette décision ne lui appartient pas, qu’elle était inévitable, mais il n’en est pas moins ébranlé. Ce qu’il avait toujours cru fait d’or venait de révéler sa rouille. Il perd un repère fondamental ce jour-là, celui d’un couple qu’il croyait, comme tous les enfants, éternel…

Dave se ressaisit rapidement, pourtant. Il est un garçon bien plus optimiste que son air hautain ne laisse à croire, il a toujours eu foi en l’avenir, et c’est une attitude qu’il l’aide à se redresser de ce coup de massue. Les choses ne changent pas tant que cela pour lui, au  fond, il continue d’être choyé par ses deux parents. Il est certain de pouvoir trouver un nouvel équilibre, jongler entre ses deux foyers n’est pas si compliqué que cela, et puis les Marchebank et les Warlock continuent d’entretenir des relations, pour le bien des affaires.

Non, les choses ne changent pas… jusque l’arrivée de Rosaleen Lestrange, en été 2008. Dave aurait dû s’attendre à faire face à une nouvelle épouse rapidement, après tout, le mariage était une valeur trop importante dans leur société, un divorce pouvait vite entacher une réputation. Mais Dave n’y était pas préparé, surtout pas à une femme comme Rosaleen. C’est la catastrophe. Il se sent trahi, poignardé dans le dos par la décision que son père a pris sans même le consulter, alors qu’il était concerné. Cette femme allait devenir sa belle-mère, par Merlin ! Il aurait aimé la connaître, avant que son père ne lui annonce des fiançailles  déjà conclues. Pour la première fois de sa vie, Dave en veut à son père. Et Dave ne sait pas que cette déconvenue n’est que la première d’une longue liste qui lui fera découvrir qu’il ne connaît pas si bien Leopold qu’il ne le pense.


Famille et entourage
Leopold Marchebank - Père
Dave lui voue un amour et une admiration sans bornes. Il s'est toujours très bien entendu avec lui. Ayant des opinions et des centres d'intérêt communs, ils ont partagé beaucoup de moments de complicité. Leopold a été un bon père, toujours présent pour lui, mais avec son remariage, il signe leur premier désaccord de taille.

Meredith Warlock - Mère
Dave la chérit autant que son père, même s'il ne la hisse pas au rang de modèle comme lui. Il ne veut pas avoir à choisir entre l'un ou l'autre, aussi il s'est efforcé de rester neutre dans leur conflit, même si au fond de lui, Dave trouve que sa mère s'est beaucoup trop laissée faire.

Rosaleen Marchebank Lestrange - Belle-mère
Non, Dave n’est pas ravi d’avoir pour belle-mère une femme qui a presque l’âge d’être la petite-amie du fils, et non du père. Il s’interroge encore beaucoup sur les raisons qui ont motivé Leopold, pourtant connu pour son rejet des traditions Sang-Pur, à demander une femme si jeune en mariage : intérêt politique ? Pas financier, de toute évidence, ce n’était pas son père qui profiterait du coffre de l’autre, dans ce couple.

Griselda Marchebank - Arrière-arrière grand-mère
Une femme éminemment respectable qui a largement contribué à la réputation de leur famille. Elle a toujours gâté Dave, qui l'aime et la respecte beaucoup.

Coraline Marchebank - Tante
Si Leopold a réussi politiquement, Coraline a brillé dans l'entrepreunariat, et Dave ne peut qu'admirer la force de caractère de sa tante pour avoir réussi à s'imposer dans un monde impitoyable et peu accueillant envers les femmes. Elle est "la femme de l'avenir !" comme il aime le dire. Il ne sait pas que Leopold tire en réalité pas mal de ficelles derrière.

John Warlock - Oncle
Dave prend un malin plaisir à démonter ses opinions politiques qu'il juge arriérées, mais bon, il l'aime bien, quand même.

Lauren McGowan - Meilleure amie
Lauren a eu un moment une place un peu plus spéciale que les autres, mais avec le temps et avec Samantha, Dave a trouvé un autre équilibre. Le trio qu'ils forment est l'une des choses à laquelle il tient le plus. Il fait partie des rares personnes à connaître la véritable Lauren, celle qui se dévoue pour ses amis, parfois, il aime la taquiner en lui disant qu'elle n'est pas si terrible qu'elle en a l'air. La preuve, à sa place, il se serait déjà donné mille coups de batte pour se faire taire !

Samantha Miller - Meilleure amie
Quand Dave et Lauren se font souvent remarquer, Samantha passe inaperçue, et c'est bien dommage, juge Dave. Si les gens grattaient un peu plus au-delà des apparences, ils découvriraient une fille militante, ambitieuse et pleine de bonnes idées. Dave a toujours apprécié sa personnalité, il espère que sa récente lycanthropie ne fanera pas son courage...  

Kessy Brooks & Cassandre Harper - Comment ça mes demi-soeurs ??
Dave n’est bien évidemment pas au courant des adultères de son père. Il ne lui viendrait pas l’ombre de l’idée en croisant ces deux jeunes Gryffondor dans les couloirs de Poudlard qu’il partage le même sang qu’elles… Et à vrai dire, ce n’est pas plus mal. Il n’est pas certain que Dave apprécie de savoir que l’écervelée et l’enragée de service sont ses demi-soeurs, encore moins quand il reconnaît avoir -un peu- louché sur la première.  


Code:
[code]<a href="#" class="pres_infobulle"><font color="#000000">♠️ </font>Dave Marchebank<div><img src="http://i80.servimg.com/u/f80/18/31/86/08/dave10.jpg" class="img_info_pres" /><span class="nom_info_pres">Dave Marchebank- <span class="qualif_pres">Fils du dictateur</span></span><br />Aux premiers abords, Dave est un fils à papa hautain, un peu trop conscient de ses capacités. C'est un élève brillant, en avance pour son âge, et il le sait. Cette carapace d'orgueil, c'est celle qui le protège contre le côté moins reluisant de sa vie : il est surtout un paria, qui a souffert du rejet des autres. Mais peu importe, Dave a de grandes ambitions après Poudlard, ce sont ses objectifs précis qui lui font conserver sa dignité. Gringotts semble une bonne première étape pour ce garçon avide de faire fructifier la fortune familiale. </div></a>[/code]

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Dave Marchebank
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Profil Académie Waverly
Dave Brutus Marchebank Icon_minitimeMer 3 Sep 2014 - 15:41
Si je n'ai rien oublié... Ma fiche est terminée Dave Brutus Marchebank 4205929361 Dave Brutus Marchebank 2774444739
Leopold Marchebank
Leopold MarchebankMinistre de la Magie
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Dave Brutus Marchebank Icon_minitimeJeu 4 Sep 2014 - 23:47
Mon fiston I love you

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Félicitations ! Dave Brutus Marchebank 2779412437

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